@Jeussey de Sourcesûre
Vos sources me paraissent peu sûres, et c’est un euphémisme.Vous êtes curieusement péremptoire pour une matière que vous ne connaissez évidemment pas. Il est vrai que la Bretagne fut envahie par les bretons anglais au sixième siècle, ce qui a certainement contribué à receltisé le pays.
’Sous l’Empire romain, le brittonique dont est issu le breton, était parlé dans la province romaine de Britannia, soit à l’ouest des Pennines environ jusqu’à la Clyde (rivière de Glasgow), le latin n’ayant pas remplacé la langue vernaculaire. C’est dans ce breton qu’écrivent les poètes Aneurin et Taliesin dans les royaumes bretons du sud de l’Écosseactuelle. Au xixe
siècle en France, on commence à appeler cette langue le brittonique pour le distinguer du breton armoricain. Ce terme désigne aussi la langue bretonne avant le viie
siècle.’ sources : Breton — WikipédiaLes échanges entre Bretagne insulaire et continentale existent depuis l’antiquité. Le culte des saint bretons qu’on trouve aujourd’hui en Bretagne sont issus souvent de grande bretagne, tels les saints irlandais, à l’image de saint yves, ou de Brendan...Les communautés qui sont venus d’Angleterre, surtout du pays de Galles, ont pris racine dans des communes qui se caractérisent souvent par des particules en Plou, ou Lo ( Plougrescrant, locquamariacer, Ploumanach, ect....
Il reste tout de même près de 200 000 locuteurs de breton en bretagne, et surtout un réseau d’écoles militantes, « Diwan », qui attestent de la vigueur d’une culture ouverte sur les autres, et une chance, sachant qu’une langue appartient au patrimoine de l’humanité. Il a été montré, mais est- ce besoin, en sciences cognitives que le fait d’être bilingue est un enrichissement pour les enfants, et leur offre facilité en bien des apprentissages, en dehors des langues.