Le FMI a récemment publié le même genre de critique.
« Néolibéralisme : le FMI fait son méaculpa »
" (...) Les économistes déroulent en effet une série d’arguments solidement
étayés, qui sont autant de critiques en règle des politiques de
dérégulation menées partout dans le monde depuis quarante ans, sous
l’égide…du FMI ! Mieux vaut tard que jamais.
L’article égratigne
en particulier deux piliers de la doctrine économique dominante : la
libre circulation des capitaux, et la priorité donnée à la réduction des
déficits.(...)
ça change quoi ? Nada, wallou, rien du tout !
Les Italiens viennent de voter non au référendum contre la réforme voulue par Bruxelles.
ça a changé quoi ? Nada, wallou, rien du tout !
Et vous savez pourquoi ? Parce que la FED et la BCE font tourner la planche à billets plein pot, alors tout baigne, enfin, pour un certain temps du moins...
" La victoire du « non » avec presque 60 % à la réforme constitutionnelle sous forme de référendum en Italie est sans appel. C’est un grand, un immense « ciao Matteo Renzi », pour ne pas dire un
tout aussi énorme « casse-toi pauv’con » comme on dirait dans certains
endroits de France.
Bref, le président du Conseil italien démissionne.
Catastrophe ? Non ! Que nenni, il ne se passe rien, mieux même : les marchés montent, l’or baisse. Tout va donc très bien. Pourquoi ?
Toujours le bon vieux principe du « plus c’est pourri, moins c’est grave » !
La BCE est là, on ne craint rien !" (...)