@Trelawney
Autre témoignage conforté par nos propres sources non médiatiques
=
"La chute d’Alep ne signifie pas la fin de la révolution syrienne,
mais il y a une rupture très importante, proche d’une révolution. Dès le
début, j’ai été l’un des premiers à appeler à la lutte armée, car je
suis pleinement conscient du mécanisme des limites du régime criminel
d’Assad", a expliqué Cheikh Khalid Khalaf.
"Maintenant, nous nous tournons vers la méthode de la résistance,
nous sommes un peuple libre et révolutionnaire, nos terres sont occupées
par l’Iran, la Russie et leur enfant à Damas, Bashar el-Assad", a-t-il
poursuivi.
L’armée syrienne et ses alliés, des combattants iraniens et du
Hezbollah libanais, contrôlent désormais plus de 90% d’Alep-Est, selon
l’OSDH. La télévision d’Etat a diffusé des images filmées dans les
quartiers repris aux rebelles : des ruines et des gravats à perte de vue.
La Turquie a également confirmé mardi qu’un « accord de cessez-le-feu »
a été conclu avec l’opposition syrienne à Alep, permettant l’évacuation
de rebelles et de civils."
La victoire finale en Syrie n’appartiendra ni aux troupes et alliés d’Assad, ni aux Islamistes.
Mais elle peut être rendue très longue pour le peuple syrien par un certain nombre de facteurs, dont le manque de détermination occidentale à vouloir ce que l’on prétend.
La France est en guerre avec l’EI, donc le droit international lui donne le droit de faire la guerre à une organisation qui lui a déclaré la guerre,, en irak et en Syrie.
cela ne nous exonère pas de certaines erreurs diplomatiques avec Damas, mais vouloir le départ d’Assad pour tout ce que son clan a fait en Syrie est légitime en regard des valeurs occidentales et françaises. Mais àne pas se donner les moyens de ce que l’on veut défendre, on finit mal pour un temps qui pourrait être plus bref qu’on ne le suggère dans cet article qui aura beaucoup de succès auprès des crédules de ce site..