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Commentaire de Christian Labrune

sur Sur la Syrie, la France est en état d'extinction cérébrale


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Christian Labrune Christian Labrune 18 décembre 2016 00:32

Ensuite, celle de Christian Labrune, puisqu’il l’a si fermement approuvée.

@doctorix
Je crains que vous ne sachiez pas lire. J’ai toujours considéré que la politique du crétin de la Maison Blanche, et celle aussi bien de Monsieur Mormal, étaient le comble de l’imbécillité. Vous m’obligez à recopier en bas de page ce que j’écrivais plus haut, dans une intervention expédiée à 11:15.
SI vous regardez quelques articles que j’ai écrits à l’époque du coup d’état en Egypte, vous verrez que j’ai tout ce suite considéré, contre l’avis des « démocrates » qui pullulaient à l’époque, qu’il importait de soutenir Sissi de toute urgence. C’était pourtant une dictature qui se mettait en place, dont nous ne voudrions pour rien au monde en France. Mais peut-être un moindre mal dans la situation particulière de ce pays où la démocratie paraît pour l’instant impossible.
Ce que je trouve particulièrement obscène dans la présente page d’AgoraVox, c’est qu’on puisse s’enthousiasmer pour un Bachar el Assad et un Poutine, au point de nier les exactions commises pour reprendre Alep, et qu’on puisse par dessus le marché être niais au point d’imaginer que tout puisse demain redevenir paisible : la répression va continuer, en se durcissant. 
Je ne fais aucune espèce de différence entre les crapules du Hezbollah et celles d’al Nosra ou de l’Etat coranique, cela va sans dire.

Ecrit à 11h15. Et le même point de vue dans plusieurs autres interventions que je n’ai pas le courage de retrouver :

"Je ne me suis jamais fait d’illusions sur l’opposition au régime d’el Assad : elle était de fait noyautée dès le début par les islamistes et il était absurde de soutenir comme l’aura fait la France les héritiers idéologiques d’al Qaïda. C’est bien triste à dire, mais une dictature qui contrôle les islamistes, vaut peut-être mieux dans ces régions (on le voit en Egypte) qu’un pouvoir fanatique désireux d’abord d’exterminer les minorités. Il aurait fallu l’admettre un peu plus tôt à propos de la Syrie, sans avoir pour autant l’indécence d’applaudir."


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