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Commentaire de Christian Labrune

sur Les enseignants : fossoyeurs de l'Occident (II)


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Christian Labrune Christian Labrune 19 décembre 2016 17:23

 Vous et rocla êtes de parfaits abrutis qui exècrent tous ceux de leurs semblables qui ne sont pas de la même couleur qu’eux : en l’occurrence, il s’agit de couleur politique.
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@JL
Lorsque j’écris que « l’Assemblée nationale, depuis qu’elle existe, est un haut lieu du racisme », cela découle nécessairement de ce que vous aviez écrit et que je viens de recopier en haut de ce message. Quand un député de l’opposition invective un ministre d’une autre couleur politique, lors des questions au gouvernement, et que ce dernier lui répond sur le même ton, c’est-à-dire assez vertement, (ce qui arrive à chaque exercice parlementaire de cette sorte), ces deux-là se comportent bien exactement comme Rocla (je ne sais pas qui c’est) ou mézigue.

vous dites une chose et, voyant son absurdité, vous faites comme si vous ne l’aviez pas écrite ; vous appelez sophisme vos propres élucubrations lorsqu’on vous les renvoie plus explicitement formulées. Stratégie des plus calamiteuses, qui ne pourrait se justifier que si ceux qui vous lisent étaient de parfaits imbéciles sans mémoire. Or, ils ont sous les yeux ce que vous avez écrit, et ils ont tout loisir de vérifier.

Je vous avais prévenu que vous étiez en train de mettre le doigt dans un périlleux engrenage. Vous auriez pu convenir que votre accusation de racisme était des plus fantaisistes, faisait partie de ces propos en l’air auxquels on se laisse aller quelquefois dans la polémique, et sur lesquels tout le monde conviendra qu’il vaut mieux passer l’éponge, moi le premier. Mais non, vous vous opiniâtrez, et il faut encore une fois que revienne le leitmotiv des perles. C’est une obsession chez vous, les perles, à croire que vous passez votre temps à les rassembler en tas pour en faire des colliers.

On connaissait, dans les « Cinq psychanalyses de Freud », celle de l’homme aux loups, celle de l’homme aux rats, il ne manquait plus que l’homme aux perles. Je ne risque pas, rassurez-vous, d’écrire une « psychanalyse de l’homme aux perles » parce que je n’ai jamais cru aux fariboles du Viennois, mais votre cas m’amuse quand même. Voyons si, la prochaine fois, vous serez capable, sans un peu d’aide, de trouver autre chose.


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