La cybercriminalité
commise par quelques individus et la cyberguerre commise par un état
contre un autre, se développent sur internet. Sur l’internet tel
qu’il a été constitué petit à petit par des Étatsuniens même si
l’idée initiale du réseau était française.
Or se sachant
maîtres du jeu notamment avec la production de microprocesseurs et,
à l’origine le quasi monopole de Microsoft, les deux possédant des
« backs doors » leur permettant de violer la confidentialité
des échanges des clients de ces puces (Intel en particulier) et de
Windows, les Étatsuniens n’ont pas développé de protection pour
les utilisateurs qu’ils furent les premiers à pirater. Et ont de
fait interdit aux informaticiens étrangers d’avoir accès aux
logiciels internet pour les empêcher de les rendre invulnérables.
Juste et moral
retour des choses, ils sont aussi maintenant victimes des hackers.
Mais l’analyse
mathématique montre que l’on peut concevoir des codages
indécryptables extrêmement rapides et peu gourmands en calculs,
utilisables pour placer les données sur le cloud, sur les disques
durs des entreprises et pour communiquer avec quiconque en
communiquant une « graine » grâce à des particules
intriquées transportées par satellites comme y travaillent les
Chinois.
Si les messages ou
les données stockées sont indéchiffrables par des malveillants,
ils ne pourront plus nuire.