Si l’on considère les précédents élus (même prix Nobel de la
paix) et leur exceptionnelle réussite et que l’on commence à les comparer
à des propos chocs de campagne d’un « battant » désirant réveiller un
électorat apathique écœuré par un système installé, c’est que l’on est pas
conscient du changement de société que nous vivons dû en partie à l’évolution
trop rapide de la technologie, en particulier des télécommunications des
transports des mentalités journalistiques qui banalisent certains comportements
de nos semblables
je veux dire : la violence, le meurtre individuel ou de masse, et la »désinhibition" que="que" provoquent="provoquent" les="les" drogues="drogues" et="et" autre="autre" discours="discours" dits="dits" religieux="religieux">span>
Nous sommes à une charnière qui réclame un sursaut, une volonté, non
pas réactionnaire comme le lancent
certaines idéologies progressistes vertueuses loin des réalités, mais
pour défendre une identité millénaire et un art de vivre en liberté, qui a
trouvé un équilibre après que des millions de morts au travers de guerres l’aie
défendu, sans qu’à notre tour nous ne défendions cette culture dont l’histoire
si riche a réussi l’équilibre certes précaire, la preuve est qu’il faut la défendre
sans arrêt comme les digues des polders protègent
les terres des affres de la mer et de ses tempêtes.
La dernière guerre 39/45 fut une de ces épreuves qui comme aujourd’hui par un autre genre d’attaque nous
met en péril.
Il faut bien alors, et heureusement,
que quelque héros se dressent pour remuer les masses endormies et/ou
peureuses.
Nous avons le devoir de les soutenir quitte à plus tard les
»cadrer " si="si" quelques="quelques" survenaient="survenaient" chez="chez" ces="ces" un="un" peu="peu" mais="mais" volontaires="volontaires" et="et" entreprenants="entreprenants">span>
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