Concomitamment
au problème de la surpopulation, il y a celui de l’eau potable.
Si
l’évolution du climat accélérée par l’augmentation drastique des
gaz à effet de serre conduit à des sécheresses, celle-ci viendra à
manquer dans les pays tropicaux, ceux justement où la densité de
population sera la plus forte. La pénurie d’eau déclenchera
immédiatement
des violences extrêmes pour s’accaparer celle qui restera disponible
qui iront en croissant à mesure que les gens s’armeront toujours
plus pour survivre.
À
noter que les inondations sont aussi défavorables à la production
d’eau potable que la sécheresse en charriant des polluants qui
empoisonnent les points d’eau.
Le
dessalement massif de l’eau de mer ne pourra guère profiter dans un
premier temps qu’aux habitants des zones côtières,
lesquelles
seront rapidement envahies
par des migrants venus de l’intérieur.
D’où là aussi des conflits qui seront sanglants.
Et
ainsi, rapidement,
les usines de dessalement, gardées par des sentinelles armées, ne
fourniront pas assez du liquide vital, tout en consommant beaucoup
d’énergie ... qu’il faudra également produire
massivement .
Comment ?
Pour
éviter une surpopulation catastrophique, il
est vital
que l’on propose dès
maintenant aux
femmes -
particulièrement celles des pays menacés une
contraception non-hormonale car
celle-ci est responsable
sans doute de cancers du sein et de l’utérus,
coûte cher et n’est pas infaillible.
La
meilleure solution est d’obturer les trompes avec des ballonnets
amovibles dans un matériau qui n’irrite pas les tissus
et non avec ces ressorts métalliques fabriqués en Allemagne.
Mais
bien entendu, cette proposition de
contraception nécessaire à la
survie de
peuples tropicaux se
heurtera au refus dogmatique, stupide des hiérarques religieux ...