@Alren
Si la poste ouvrait ses bureaux entre midi et deux, et le soir ne fermait pas à 5 haures, peut être pourrait-ils lutter si les employés se mobilisait en place de prendre les clients pour des boeufs.
S’il existe des secteurs ou il est indispensable de conserver la maîtrise par le secteur public c’est la santé, l’éducation. La sécurité sociale n’est pas publique d’ailleurs.
Ce qui est bizarre c’est que quand on libéralise et que l’on assure une concurrence comme dans les télécoms, les prix chutent contrairement à ce que vous écrivez. Les rentes de situation publiques et privées sont des abus. La poste fait payer des prix prohibitifs pour les paquets, ils profitaient d’une situation de monopole, un service inexistant, ...
Heureusement que FT a été mis en concurrence, quand on pense qu’il faisait encore payer des tarifs de communications de téléphone exorbitants à ceux qui n’avaient pas internet. Le petit vieux qui payait un abonnement, passait quelques coups de fils locaux ou extérieurs à sa famille, se retrouvait avec des factures de folie pour quelques minutes de communications. Maintenant tout est inclus, international compris. Sur les mobiles idem, des prix divisé par 5 ou six soit des économies en centaines d’euros.
Il ne s’agit pas de privatiser tout mais conserver des secteurs aussi empiriques que la poste au simple prétexte que c’est public est une aberration, c’est un secteur concurrentiel. Sur la SNCF idem, des conditions assez détestables sont faites à des millions de clients qui sont pris pour de simples usagers qui ont juste le droit de la fermer.