Petit point de detail (effet Colombo) :
Quelqu’un a affirmé dans les commentaires qu’être chrétien n’est pas une croyance..
si être chrétien n’est pas un croyance.. alors qu’est ce que croire au dieu des chrétiens ?
Et donc cela renvoie au debut de cette affirmation : être chrétien n’est pas une croyance..
En soi cette affirmation se mord la queue....
Puisque être chrétien veut bien dire croire en Dieu. Non ?
Je ne comprends pas cette nuance que vous tenez à mettre en relief...
Une approche bouddhiste du culte chrétien ?
Jesus en tant que Bouddha d’occident ?
Je ne comprends pas vraiment.. Sincerement...
Apres, cette personne a bien précisé ceci : « pour moi »..
Donc la religion chrétienne est polymorphe et modifiable a souhait, selon les tenants et les aboutissants relatifs a chaque croyant, individuellement et séparément du dogme central de cette religion ? Un desiderata en qque sorte.
Je ne comprends rien ! (c’est visible je le sais)
Tout le monde, enfin.. non.. tout croyant redéfinit sa religion, sa croyance.. et fait sa « sauce » au final.. En fait, eux meme détruisent les bases de leur propres religions et les déforment tout en accusant d’autres facteurs extérieurs à leurs propres contradictions. Ca devient un bordel sans nom au final, désolé du terme employé.
Et au final le résultat est contre productif.
la preuve ; cela me crispe.
Certes rien de transcendantal ni meme de vital.. Mais vos craintes qui sont l’echo d’autres craintes, au final, font naitre en moi des craintes. Toutes semblent interconnectées.. Mais aucune ne fait le lien avec son vis-à-vis. Nul pont. Nul chemin. Nul entente possible apparemment.
Et voila comment peut naitre le sentiment de perdition chez beaucoup.
Personnellement, sans dogme je me sens moins perdu. Moins écrasé. Moins acculé. plus libre. Et cela ne me fais pas trahir les valeurs humanistes dont s’affublent tout religieux qui veut passer uniquement pour un émissaire du bien.. tout en sachant que derrière lui s’agite les spectres du dogme, de la corruption et de l’inversion de ces memes valeurs.. Mais ne pas regarder le sein dénudé ne veut pas dire qu’il n’existe pas en réalité, bien charnu, doux et pointant les cieux éthérés de son téton provocateur.
Bon la je me suis définitivement cramé sans doute..
Mais jai vraiment des difficultés à bien comprendre toutes ces rigidités provenant des religieux, des croyants qui se sentent touchés en leur for intérieur.. Toutes ces craintes. Crainte de perdre leur base.. Leur socle. Socle qui, je l’ai exprimé dans les post precedents, a été la base de nombreuses dérives. et des dérives telles que, de nos jours encore on peut en ressentir les souffrances émises et reçues.. comme un membre fantôme. Un membre fantôme dont on a oublié peut-être l’utilité au travers de la soumission à la religion. Soumission qui dura des siècles et qui revient encore de nos jours. La question à mon sens serait de retrouver la raison d’être, l’origine, la nature, et l’utilité concrète de cet archaïque « membre fantôme ».
Donc mes craintes se voient fondées de nos jours car je ne vois aucune religion et aucun dogme faire référence au final à ces problématiques.. préférant peut être s’octroyer l’exclusivité de telles problematiques.
La religion qui saura humblement se positionner juste en « baton » de marche, en soutien possible et librement consenti par chacun de ses pratiquants, sera sans doute mieux « respectée » par moi qu’une religion tout autant « bâton », mais associé avec la carotte pour nous faire avancer aveuglement vers un avenir meme pas choisi et sur un chemin meme pas souhaité et au travers d’une méthode en soi bien condamnable.