Bye bye l’ONU suite 3
Les journalistes : ils sont ceux qui font l’information et la commentent. Et par ce biais, ils font aussi de la politique. À l’heure des médias, rien n’existe sans eux, et tout existe par eux, et quasiment par eux seuls. Il incombe donc de les étudier, eux aussi, comme leurs discours, et le contexte de ce dernier, pour comprendre la politique.
Par conséquent, les journalistes seraient fondés à confondre « fonction d’opinion et fonction d’information », à refuser au public des informations exactes, et tout bonnement à donner l’image qui leur convient de la réalité.
Les journalistes ne mentent jamais ; ils ne font que rapporter la vérité que leur disent les menteurs.
Les médias : vous êtes les complices et les pourfendeurs de la haine des Juifs, et vous n’avez fait que véhiculer les mensonges, tout le monde raconte que les Juifs ont la main mise sur les médias, comment ça se fait qu’aucun médias n’a sifflé mot du massacre de la famille Fogel dont 3 enfants égorgés par les pauvres gentils palestiniens. Et qui parle des malheureux chrétiens massacrés et brûlés vifs dans les églises dans tous les pays musulmans.
Ravel remarque que l’idéologie est la « principale source de dérangement de l’information, parce qu’elle nécessite un mensonge systématique, global et non pas seulement occasionnel ». Le mot fut incorporé au vocabulaire socialiste par Marx et Engels avec une connotation non seulement critique mais péjorative pour désigner « l’ensemble des notions et des valeurs destinées à justifier la domination d’une classe sociale par une autre ».
Sur les restes de tout ou partie du manteau marxiste plus ou moins détérioré sont collés des bouts de multiculturalisme, de pseudo-humanisme, de compassionnisme, de droit-de-l’hommisme, et invariablement d’anti-américanisme, accompagné de néo-tiers-mondisme : sympathie pour le « sud » en général et pour l’Islam en particulier.
Israël n’est Israël qu’à travers le regard des antisémites, comme cela a toujours été vis à vis des juifs !!!! Souvenez-vous d’une chose que le judaïsme, ce n’est pas une idéologie, c’est une attitude. Le philosophe anglais Isaiah Berlin faisait observer que “tout le monde feint de chercher la vérité, mais que si on la découvrait, celle-ci ne serait peut-être pas intéressante”. Les mythes fascinent plus que la vérité : ceci serait tolérable si le coût n’était pas aussi élevé. Car, les mythes, s’ils ont des mains, ont les mains sales et ensanglantées.
Y a-t-il un seul pays au monde qu’on vilipende sur la place publique comme on le fait avec Israël ? De toute évidence, il est permis non seulement de critiquer l’État d’Israël, mais aussi de le condamner systématiquement. Pas un de ses gestes, pas une de ses paroles, pas une de ses actions qui ne fasse l’objet d’une condamnation sans appel. Cette violence à l’égard d’Israël a atteint son paroxysme et se traduit par une remise en question de son droit à l’existence. Il ne s’agit plus de critiquer telle ou telle action, mais de ne plus reconnaître ce pays en tant qu’État, donc de le délégitimer. Aujourd’hui, le monde a un nouveau Juif, un nouveau bouc émissaire, c’est l’État d’Israël.
Quel est ce cœur unanime de condamnations contre Israël ? Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme le coupable absolu ? Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ? Trop de bonne conscience tue la conscience. Trop, c’est trop !!
La seule raison pour laquelle quelqu’un pourrait te haïr, c’est parce qu’il voudrait être comme toi.
Steiner se demandait : comment peuvent coexister chez une même personne le goût du « plus extrême souci de vérité et celui du plus extrême mensonge ».
L’invocation des droits de l’homme est devenue une arme politique à des fins partisanes et idéologiques. Pas n’importe laquelle : elle manipule les concepts d’humanité, dimension extrêmement sensible quand il est question d’Israël du fait de la mémoire de la Shoah. La chose se vérifie à l’évidence, au constat de la principale accusation de ces ONG : le crime contre l’humanité, le crime de guerre, l’apartheid.
Une foule de sigles aux noms séduisants, mais qui ont tous comme objectif clair de chercher à porter atteinte à l’image d’Israël au niveau international, grâce aux millions des fonds recueillis dans le monde par le NIF (New Israel Fund), une organisation définie jusqu’ici simplement comme « humanitaire », alors qu’en réalité elle exécute les ordres de « bienfaiteurs » qui sont pour la plupart des fondations américaines, comme la Fondation Ford, la Fondation Soros, la Fondation Carter et, en partie, la Ligue arabe. La vérité c’est qu’on a mis en cause un système de financement pervers, menaçant la sécurité intérieure d’Israël.
Les Palestiniens mobilisent près de 80 % de l’aide humanitaire internationale alors qu’il n’y a aucune pénurie dans les territoires. Et il existe une agence spécialisée à l’ONU pour les seuls Palestiniens, l’UNWRA. Comment justifier ces privilèges alors que des centaines de milliers de personnes meurent de faim un peu partout dans le monde ? Tout se passe comme si les Palestiniens devaient conserver leur statut symbolique de peuple-victime. On reconnaît la stratégie consistant, pour les pays arabes depuis 1948, à préserver et à prolonger indéfiniment le statut de « réfugiés » Palestiniens en ne les intégrant pas. Ce traitement préférentiel des Palestiniens par la communauté internationale a fini par créer un peuple de « victimes » statutaires et d’assistés, ce qui permet à toutes les mouvances « antisionistes » de continuer à diaboliser et à condamner Israël, accusé injustement d’être l’unique responsable de la situation.
D’ailleurs déjà en 1952, le Lt. Général Sir Alexander Galloway, personnalité connue qui était à l’époque le directeur de l’UNRWA en Jordanie, a fait cette déclaration devant un groupe de visiteurs Américains, hommes d’églises qui s’intéressaient au problème des réfugiés arabes à la suite de la guerre israélo arabe de 1948 :
»Il est parfaitement clair que les nations arabes ne veulent pas résoudre le problème des réfugiés arabes. Elles veulent le maintenir comme une plaie ouverte, comme un affront contre les Nations Unies, et comme une arme contre Israël. Les dirigeants arabes se fichent éperdument de savoir si les réfugiés vivent ou meurent".
La violence est endémique à la société musulmane depuis sa création il y a plus de 1400 ans. Une grande partie des ancêtres des musulmans d’aujourd’hui, soit 1,3 milliard de musulmans, ont été convertis à l’islam sous la contrainte.
En réalité, il serait difficile de trouver dans le monde musulman un régime dans lequel l’expression « droits de l’homme » pourrait seulement être employée. La différence entre le monde arabe et Israël est une différence de valeurs et de personnalité. C’est la barbarie contre la civilisation, la dictature contre la démocratie, le diable contre Dieu.
04/01 18:43 - Onecinikiou
@simazou Inversion accusatoire : la Haine pure mon cher elle est contenue dans les références (...)
04/01 11:57 - simazou
@Onecinikiou La France et l’Europe sont dans une phase de déclin économique, politique, (...)
04/01 11:21 - jaja
@Fifi Brind_acier Une création coloniale violente, soutenue ici par la droite et la gauche (...)
04/01 09:44 - simazou
@Onecinikiou Je peux vous certifier que ceux qui haïssent les juifs, sont en majorité des (...)
04/01 09:04 - Onecinikiou
@ETIENNE Ne rêvez pas : Israël étant une puissance nucléaire rien de tout cela (...)
04/01 07:49 - ETIENNE
@Onecinikiou A quand une coalition militaire pour forcer Israel à respecter le droit (...)
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