@sweach
votre définition ne me convient pas hélas.
Insister lourdement sur un pseudo coté « profiteur » ne m’apparait pas être la principale caractéristique du « cassos ».
^^
Plus d’un « cassos » ne profite en fait de rien.
N’a accès a rien.
Est en galère perpétuelle meme.
Dans les années 80-90 souvent un cassos, c’était un gars qui était en perdition sociale,
un peu bizarre et souvent à l’ouest. Et donc pas du tout un profiteur.
Les gars qui finissent en SEGPA.. ou en SES..
Les gars qui ont des habitudes de laisser-aller.. ou qui ne sont juste pas ou plus adaptés socialement...
Le « Cas » social.. (par le mot « cas ») est bien censé designer un « phénomène » social.. une sorte d’« anomalie vivante » s’iil en est.. qui se doit d’être « signalée » à la communauté bien adaptée socialement et suivant bien la norme établie.
D’ou le mot : « cas ». D’ou le coté stigmatisant du terme.
Ensuite Sweatch, vous dites qu’il n’est pas synonyme de pauvre :
mais en amont, votre liste stipule bien que le « cassos » est selon vos dires, celui :
- Qui profite d’un logement HLM
- Qui profite de différente aide social, APL, RMI, allocation familial, ...
- Qui ne paye pas ses factures ou son loyé
- Qui préfère les aides social au travai
En quoi vous pourriez placer dans votre définition un rentier ; un riche ; ou un bourgeois par exemple ?
Je pense que « cassos » a sa place dans le langage courant et dans le dictionnaire, au meme titre que n’importe quel mot argotique et bien plus que des mots que la reforme de l’orthographe a rendu vides de sens et de couleurs.
Et « cas social » en serait la version développée, à classer peut-être dans le langage « familier » avec consonance négative et discriminatoire.