@moderatus
J’ai été élevé suivant certains principes, la valeur du travail ; le gout du travail bien fait , le gout de l’effort, la fierté de réussir dans ce que l’on fait, de pouvoir élever ses enfants dans la dignité.sans être un assisté.
Malgrè mon age qui doit être proche du votre, je peux vous dire que vous etes un vieux crouton.
Pour ce qui est de « la valeur du travail ; le gout du travail bien fait » je vais vous raconter une anecdote qui démontre que nous ne sommes plus à la page.
J’aide des personnes a créer leur entreprise et parmi ces personnes, une jeunes femmes ancienne directrices d’hôtel en franchise qui ne comptait pas ses heures et qui avait suffisamment d’entrain et de conscience professionnel pour entraîner et motiver toute l’équipe derrière elle. L’hôtel fonctionnait super bien, dans une bonne ambiance et faisait des bénéfices pour le bien de son propriétaire qui un jour décida de le vendre. Comme le nouvel acquéreur avait déjà une équipe dirigeante (son épouse) il demanda au propriétaire de régler le problème avant la vente. Et donc harcèlement, lettres recommandées, convocation et déclassement etc jusqu’à que n’y pouvant plus elle se retrouva en arrêt pour longue maladie (dépression). Je m’occupe de cette dame pour la création d’un projet d’hôtel où elle serait propriétaire et aussi question prud’homme et civil car j’ai décidé de porter cela devant les tribunaux pour que cet ex propriétaire crache au bassiné et tel que c’est parti, il va cracher un max. Mais c’est trés difficile pour cette dame de remettre le pied à l’étrier.
Voilà aujourd’hui en 2017 à quoi nous amène « le gout du travail bien fait »