Personnellement, je ne consulte que de manière rarissime ! Le médecin, c’était pour l’époque ou un état maladif nécessitait (pour éviter la contagion, et d’autant plus que je travaillais avec des personnes fragiles) un certificat médical. Au cours de ma carrière, j’en ai d’ailleurs vu plus d’une quitter l’hôpital les pieds devants, en raison de maladies nosocomiales qu’elles y avaient contractées.
Mais bon, hors quelques petits tracas physiques auxquels je connais depuis plus de trente ans la parade et un anti-douleur à l’occasion, rien de bien sérieux à signaler ! Et j’évite autant que je peux le recours à la pharmacopée « classique » : une ou deux préparations homéopathiques, une ou deux teintures-mère ou huiles essentielles, ...
Seules les séquelles à long terme de mon burn-out nécessiteraient un suivi psy digne de ce nom. Mais un bon psy, c’est comme un bon médecin, encore faut-il le trouver ! Ayant travaillé 27 ans dans le « social » - où ce n’est pas un luxe - j’ai eu un « bon » analyste (enfin, le courant passait et il me convenait) ! Mais tout travail méritant salaire, ma déchéance au rang d’allocataire social ne me laisse plus les moyens financiers de lui verser mes honoraires.
Quoique son éclairage me serait précieux, je me démerde donc pour m’en passer ! Pour soulager lorsqu’ils surviennent les « pics émotionnels », me reste le recours aux fleurs de Bach !