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Commentaire de Philippe VERGNES

sur Affaire Jacqueline Sauvage : le syndrome de la femme (ou de l'homme) battue


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Philippe VERGNES 19 janvier 2017 11:25

@ bonjour alinea,


Malheureusement dans cette affaire, le doute subsistera toujours en raison de la « preuve d’expert » qui manque à ce dossier.

Effectivement, je ne parle pas de la violence physique masculine comme réaction d’un comportement normal à la violence morale de la femme (un cas qui existence bien évidemment et sûrement bien plus souvent qu’on ne le croit). Si je n’en parle pas, c’est que premièrement cela aurait beaucoup trop alourdi cet article, mais surtout que, deuxièmement, cette hypothèse n’a absolument pas été retenu par les deux présidentes des cours d’assises, par l’avocat général et par l’avocat de la partie civile lors du second procès qui reconnaissent TOUS la violence de Norbert Marot (il faut lire les comptes rendus d’audience, on ne parle pourtant que de lui). Il n’y avait donc pas lieu d’émettre une hypothèse qu’avait tout simplement rejeté les cours d’assise.

Avez-vous une quelconque preuve de l’explication que vous lui trouvez ? Car cette interprétation n’est venue à l’idée d’aucun magistrat, jurés ou avocats présents lors des deux procès. Personne n’a évoqué ce point, même pas lors des auditions réalisées par les gendarmes au cours de l’instruction. Je ne dis pas qu’elle n’est pas valable, mais tout simplement peu probable dans ce cas. Si toutefois vous avez un document qui démontre le contraire ou tant à abonder dans votre sens, n’hésitez pas à me le communiquer.

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