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Commentaire de Philippe VERGNES

sur Affaire Jacqueline Sauvage : le syndrome de la femme (ou de l'homme) battue


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Philippe VERGNES 20 janvier 2017 09:25

@ alinea,


« J’aimerais bien les connaître, ces dix possibilités d’interprétation du passage à l’acte ! »

Elles dépendent des théories de ceux qui les ont émises, et tout au long de l’histoire de la criminologie, il y en a eu temps et temps que je ne les ais jamais compté. Impossible de les connaître toutes : Les théories de la régulation du phénomène de la délinquance.

« Mais en tout cas, celle qui a été retenue n’a ni queue ni tête ! »

Ben justement, parlons-en de « celle qui a été retenue » qui « n’a ni queue ni tête » selon vous. Car tel est le fond de cet article duquel vous digressez pour vous « entêtez » dans votre vision des choses sans tenir compte du sujet que vous commentez.

Et c’est bien parce que ce n’est pas à « cela » que vous répondiez que je vous reproche également d’être dans « l’affectif ». En effet, ce à quoi vous répondiez était de l’ordre d’une « expertise » psychiatrique, justement le point que je dénonce comme manquant dans la stratégie de défense des avocates de JS.

Pour vous il s’agit de comprendre pourquoi JS est passée à l’acte (ce qui est hors sujet dans cet article), pour moi il s’agit de comprendre et d’expliquer les raisons qui ont poussé à faire de ce procès ce qu’il est devenu, car au final, c’est une affaire qui restera dans les anales comme un véritable camouflé infligé à la justice, ce qui ne pourrait, à court et moyen terme, que se retourner contre les véritables victimes des violences intrafamiliales (et comme toujours, en particulier les plus fragiles des personnes concernés, c’est-à-dire les enfants).

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