Sans grand intérêts. Ce sont les mêmes. Le « peuple de gauche », les profiteurs du système au détriment des petits et des forces laborieuses. Leurs différences portent en réalité sur la façon de se répartir notre argent collectif entre eux.
Du reste, ils sont tous passé d’un « extrême » à un autre dans leur carrière récente. On s’y perd. Hammond hollandiste Mélenchon pour Maastricht ou le contraire et successivement et vice versa.
Sans parler de celui qui va bientôt nous prouver qu’un intellectuel qui marche peut aller moins loin qu’une brute qui reste assise...
Un point commun, ils veulent notre argent. Une raison de se déchirer : le partage entre eux.
A la fin, quand il le faut absolument, ils votent toujours ensemble. Mais ils ne sont d’accord pour rien sur le fond. La dernière fois, il nous ont mis Hollande. Un nul, représentant des nuls pour une absence de politique. « Je ne décide de rien, partagez vous entre vous les responsabilités et prébendes sans trop faire de bruit ».
Et Hop, que je me donne des réduction s d’impôt sur le revenu que ne touchent que les 50% les plus riches du pays, alors qu’il y a 11 millions de pauvres et plus d’argent dans les caisses.
Comme Jospin Fabius à l’époque. Le PS pouvoir des riches qui s’accordent des cadeaux sur emprunt en ruinant le pays. Et ce ne sont pas les cacahuètes pour quelques personnes trop imposées sauvées par Sarkozy avec le bouclier fiscal qui lui avait de vrais justifications sociales et économiques. Non , c’est à coup de milliards que les gauches s’arrosent elles mêmes.
Mais pour le reste, absolument incapables d’avoir un minimum de consensus sur une politique pour le pays.
Divisée entre gauche arriviste et gauche arrivée, ils nous font le coup de « on a pas voté pour Hollande, on a voté contre Sarkozy, mais vous allez voir, cette fois-ci, notre candidat sera le bon ».
A d’autres ! Eux mêmes n’y croient plus comme le prouve les participations à toutes les élections partielles, locales, nationales et primaires. La gauche honnête s’abstient, la gauche naïve ne sait plus comment avoir encore l’impression d’exister, la gauche cynique recherche une porte de secours à n’importe quel prix. De l’écolo, du macron, de l’alterafter néo coco, du pré blairisme, voir de l’obamisme. La débâcle idéologique et humaine.
Un million d’électeurs en moins à la primaire de la poularde trufée au foi d’oie.
La poularde belle alliance. Tu prends un chapon, tu le remplis avec un fois gras d’oie, et de nombreuses truffes....
Cela ne signifie pas nécessairement la défaite. Le cynisme intéressé et égoïsme reste un moteur fort d’action et d’unité.
Qui veut parier que si par hasard il y a un candidat de gauche au second tour des présidentielles, quel qu’il soit , tous les autres se rallieront sans condition comme de vulgaire Mélenchon en 2012.