@Albert123
salut Albert..plutôt très d’accord sur tout çà.. 
de mon avis le peuple qui a le pouvoir seulement si il coopère et partage en paix et justement sur une base volontaire ,mais ne le sait pas, le laisse alors à des truands qui de mon avis n’en croient pas leurs yeux de tant de bêtises et ,subit tout cela parce que simplement il refuse de coopérer et de partager amicalement car il croit le maître en fait..
il croit tout mais ne comprends rien de profonds et si une vérité passe devant lui, il ne l’a voit pas ou la dénigre totalement...
le peuple il veut juste un maître plus arrangeant ....et que les voisins n’en ai pas plus que lui , moins serait bien..voila ou vole la philosophie du peuple
le peuple est affligeant de bêtise...
citations de Étienne de la Boétie
Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.
Chose vraiment surprenante , c’est de voir des millions de millions
d’hommes, misérablement asservis, et soumis tête baissée, à un joug
déplorable, non qu’ils soient contraints par une force majeure, mais
parce qu’ils sont fascinés et, pour ainsi dire, ensorcelés par le seul
nom d’un, qu’ils ne devraient redouter, puisqu’il est seul, ni chérir,
puisqu’il est, envers eux tous, inhumain et cruel"
Cette ruse des tyrans d’abêtir leurs sujets n’a jamais été plus évidente
que dans la conduite de Cyrus envers les Lydiens, après qu’il se fut
emparé de leur capitale et qu’il eut pris pour captif Crésus, ce roi si
riche. On lui apporta la nouvelle que les habitants de Sardes s’étaient
révoltés. Il les eut bientôt réduits à l’obéissance. Mais ne voulant pas
saccager une aussi belle ville ni être obligé d’y tenir une armée pour
la maîtriser, il s’avisa d’un expédient admirable pour s’en assurer la
possession. Il y établit des bordels, des tavernes et des jeux publics,
et publia une ordonnance qui obligeait les citoyens à s’y rendre. Il se
trouva si bien de cette garnison que, par la suite, il n’eut plus à
tirer l’épée contre les Lydiens. Ces misérables s’amusèrent à inventer
toutes sortes de jeux si bien que, de leur nom même, les Latins
formèrent le mot par lequel ils désignaient ce que nous appelons
passe-temps, qu’ils nommaient Ludi, par corruption de Lydi.
( ce qui a donné ludique)
Mais ils ne font guère mieux ceux d’aujourd’hui qui, avant de commettre
leurs crimes les plus graves, les font toujours précéder de quelques
jolis discours sur le bien public et le soulagement des malheureux
Pour le moment, je désirerais seulement qu’on me fit comprendre comment
il se peut que tant d’hommes, tant de villes, tant de nations supportent
quelquefois tout d’un Tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’on
lui donne, qui n’a de pouvoir de leur nuire, qu’autant qu’ils veulent
bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal, s’ils
n’aimaient mieux tout souffrir de lui, que de le contredire.