rosemar
Je précise que je ne vous pose pas la question à vous (pour des raisons 100 fois évoquées)
"@Gavroche
Le problème, c’est que ces gens sont souvent hors d’atteinte, ils
sont protégés par la loi, d’abord et aussi par tous les appuis dont ils
disposent....«
Pour une fois qu’il faudrait »poser une question« (c’est une de ses formes rhétoriques favorite) ... rosemar ne la pose pas !
Pourtant elle est simple :
»POURQUOI ?«
Quelle est »la cause des causes« de ce »problème« ?
Si rosemar avait lu le commentaire que j’ai adressé à Pere Plexe sous son texte d’hier sensé expliquer la victoire d’Hamon
elle aurait compris l’intérêt »d’appeler un chat un chat«
et de ne PLUS ACCEPTER de donner à NOTRE système »ARISTOCRATIQUE«
( le pouvoir est officiellement détenu par une élite : caste ou classe, représentants élus ou cooptés, élite intellectuelle ou technocratique, voire philosophique)
voire »OLIGARCHIQUE«
( forme de gouvernement où le pouvoir est réservé à un petit groupe de personnes qui forment une classe dominante.)
voire »PLOUTOCRATIQUE«
(régime politique où les plus riches sont au pouvoir.)
... ne plus donner à tout ça le nom volé (retourné) de »DÉMOCRATIE«
(un régime politique dans lequel le peuple a le pouvoir)
Pour ceux qui auraient encore des doutes, relire (liste non exhaustive) :
Aristote, Montesquieu, Rousseau, Kempf, Chouard...)
et prioritairement La déclaration de l’Abbé Sieyès qui »montre le vrai visage de la nouvelle domination bourgeoise instaurée à
partir de 1789 en France, à la suite des États-Unis après la guerre
d’Indépendance " (et qui est toujours d’actualité !) :
« Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et
doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté
particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne
serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique. Le
peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la
France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que
par ses représentants. » (Discours du 7 septembre 1789,
intitulé précisément : « Dire de l’abbé Sieyes, sur la question du veto
royal : à la séance du 7 septembre 1789 » cf. pages 15, 19…)
Oui, vous avez bien lu
"dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la
France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que
par ses représentants. »