@ Le Gaïagénaire,
Pas de quoi (pour le doublon) !
Une bonne foi pour toute au sujet de l’affaire Sauvage : elle n’est intéressante pour moi que du point de vue de la stratégie de défense choisie par ses avocates. Un choix qui a très certainement conditionné toute la suite qui a été donné à cette affaire, y compris même l’instrumentalisation et les manipulations qui ont suivies. Ce que j’ai tenté de faire, s’en y parvenir à la lecture des commentaires (mais comment s’en étonner, tant l’être humain est programmé à s’attacher au superflu plutôt que de se concentre sur l’essentiel ?), c’est de dévoiler le processus qui a donné à cette affaire le traitement médiatique qu’elle a eu. Ainsi, même après avoir sérieusement étudié ce dossier, je serais incapable de porter un quelconque jugement sur JS. A la différence de certains qui la jugent, sans même connaître les détails de cette affaire (et c’est surtout pas en lisant la presse que vous pourriez les connaître).
Vous même vous la juger sans rien connaître du dossier (le fils, Pascal Marot avait trois enfant !). Et ce jugement ne peut que s’expliquer que par votre subjectivité. Vos propres programmations que vous n’avez jamais résolues. Et si vous ne les avez jamais résolues, c’est tout simplement que vous éprouvez un sentiment de peur face à votre propre part d’Ombre (vos démons intérieurs, cf. mon post en réponse à Hervé Hum ci-dessous). C’est aussi simple que ça et à la fois tellement compliqué pour les gens qui refusent une telle confrontation.
Sur la question posée que vous éludez magistralement, je ne vous demande pas pourquoi vous écartez les garçons dans votre solution, je vous demande de me définir ce que sont pour vous « les hommes roses » au regard des hommes « véritables », selon vous. Autrement dit, décrivez-moi quelle est, selon vous, la place des hommes dans une société ?
C’est pourtant pas sorcier ! Ce n’est pas un problème insolvable que je sache. Si cette simple question vous mets autant au supplice, c’est qu’il y a probablement quelque chose à creuser pour vous (pour votre propre évolution, votre « individuation » aurait dit Jung) de ce côté-là.