@Hervé Hum
"A partir de là, le modèle s’impose de lui même et définit la croissance
sur la base de l’équilibre des relations socio économiques et non plus
sur la croissance économique. Je me suis arrêté de l’expliquer en raison
du peu d’écho qu’avait mes articles parlant de la monnaie et du
principe de responsabilité... Je ne suit pas la raison des autres, je
cherche à suivre la raison elle même et elle seule. Ce qui demande bien
plus de rigueur !«
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En fin de compte, il y a donc une très grande convergence entre votre recherche et la mienne...
Ce que montrent les débats autour de cette série d’articles contre le RU et contre le RU Hamon en particulier, mais aussi contre le »système Friot« , à l’occasion, c’est que si l’on aborde le problème, précisément, sous l’angle de l’équilibre des relations socio-économiques, cela devient intuitivement plus facile à comprendre, car cela correspond à du vécu immédiat, dans notre société en crise.
Le problème monétaire, plus complexe en apparence, est en réalité dépendant, à plusieurs niveaux, de l’état de ces relations.
Dans un cycle économique équilibré, déjà intérieurement, la situation monétaire ne peut qu’être saine, à la base, mais peu encore souffrir d’un déséquilibre sur le plan des échanges extérieurs.
Si sur ce plan, un équilibre s’établit également, il y a une situation saine et stable globalement.
Ceci dit, il est bien évident que le secteur du commerce extérieur doit également être suffisamment sous contrôle, et donc faire partie de la modélisation globale, pour arriver à un tel équilibre.
Il ne s’agit pas de protectionnisme au sens »concurrentiel" du terme, mais de définir une politique d’échanges équitables.
Luniterre