@njama
parce que sa famille comme bien d’autres juives avaient été priées par Nasser ...
Voilà bien les propos d’un antisémite et d’un négationniste patenté qui nie les exactions, les pogroms contre les juifs d’Egypte.
Sans compter que l’Egypte de Nasser (tout comme la Syrie de Bachar père) a accueilli et recruté d’innombrables nazis aux plus hauts postes de son gouvernement.
Quelques exemples :
Altern Erich, alias Ali Bella :
Chef régional SD, Affaires juives en Galicie
Années 50 en Égypte puis instructeur de camps palestiniens
Appler Hans, alias Salah Chaffar :
Information avec Goebbels
Égypte, ministère de l’information (1956)
Bartel Franz, alias elHussein, Adjoint au chef de la Gestapo à Kattowitz (Pologne) Depuis 1959, Section juive du ministère de l’Information au Caire
Baurnann, SS Standartenührer
Participe à la liquidation
du Ghetto de Varsovie Ministère de la Guerre au Caire, devenu instructeur au
Front de libération de la Palestine
Becher Hans, Section juive Gestapo, Vienne / Alexandrie (Égypte) : y instruit la police
Beissner, Dr Wilhelm, Chef Section VI C 13 RSHA / Égypte
Bender Bernhardt, alias Béchir Ben Salah, Gestapo, Varsovie, devient Conseiller de la police politique au Caire
Birgel Werner, alias El Gamin, Officier SS, Vient de RDA au Caire, au ministère de l’Information
Boeckler Wilhelm, SS Untersturmführer
Recherché en Pologne pour son rôle dans la liquidation du Ghetto de Varsovie
En Égypte depuis 1949, travaille au département Israël du Bureau d’informations
Boerner Wilhelm, alias Ali Ben Keshir, SS Untersturmführer
Gardien du camp de Mauthausen
Dépend du ministère de l’Intérieur égyptien, instructeur du Front de Libération de la Palestine
Brunner Aloïs alias Georg Fischer, Ali Mohammed, membre du SD, responsable déportations Autriche, Tchécoslovaquie, Grèce, Chef du camp de Drancy (France) / Damas, conseiller des services spéciaux RAU puis syriens. Résident BND
Buble Friedrich,alias Ben Amman, SS Obergruppenfùhrer Gestapo
Dir. Département égyptien des relations publiques – 1952 conseiller de la police égyptienne
Bünsch Franz, Collaborateur de Goebbels à la propagande, Correspondant du BND au Caire puis en 1958 organisateur des SR d’Arabie saoudite pour le BND
Bunzel Erich, SA, Obersturmführer Collaborateur de Goebbels
Département Israël, ministère de l’Information au Caire
Daemling Joachim, alias Jochen Dressel ou Ibrahim Mustapha, Chef de la Gestapo de Düsseldorf, Conseiller système pénitentiaire égyptien, fait partie des services de Radio Le Caire
Eisele Dr Hans, Médecin chef camp de Buchenwald
Décédé au Caire, le 4 mai 1965
Farmbacher Wilhelm :
Lieutenant Général SS, Wehrmacht front Est, supervise l’armée Vlassov en France en 1944 Conseiller militaire de Nasser
Gleim Leopold alias Lt. Col. Al Nashar :
Chef du SD à Varsovie
Cadre de la Sécurité d’État égyptienne chargé des détenus politiques sur la mer Rouge
Gruber, alias Aradji :
Recruté par Canaris en 1924
Réside en Égypte 1950 : agent d’influence en direction de la Ligue arabe
Heiden Ludwig, alias el Hadj, journaliste à l’agence antijuive Weltdienst (NSDAP), Converti à l’Islam, traduit Mein Kampf en arabe, résidant en Égypte vers 1950
Heim Heribert, SS Hauptsturmführer
Médecin de Mauthausen
Médecin de la police égyptienne
Hithofer Franz, Cadre de la Gestapo à Vienne, Égypte, années 50
Leers, Dr Johannes von, alias Omar Amin :
Adjoint de Goebbels, chargé de la propagande antisémite / Responsable de la propagande anti-israélienne au Caire depuis 1955
Luder Karl :
Chef des jeunesses hitlériennes, responsable de crimes antisémites en Pologne
Ministère de la Guerre au Caire
Mildner Rudolf :
SS Standartenführer Chef de la Gestapo à Kattowitz, chef de la police au Danemark
Depuis 1963, vit en Égypte, membre de l’organisation Deutscher Rat
Moser Aloïs :
Gruppenführer SS
Recherché en URSS pour crimes contre les juifs Instructeur des mouvements paramilitaires de jeunesse au Caire
Münzel Oskar, Général SS blindés, Conseiller militaire au Caire, années 50
Etc, etc.
Voir également : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seaux_d%E2%80%99exfiltration_nazis
Après la guerre, des milliers de nationaux-socialistes rejoignirent l’Irak, la Syrie et surtout l’Égypte entre 1948 et 1951 où ils ont mené des activités relatives à la politique et à la sécurité.
En 1967, l’historien Kurt Tauber a décrit la situation qui était
celle de l’Egypte de Nasser : « … En plus des dons de la Gestapo et de la
SS, il y avait aussi un grand besoin d’autres aptitudes sur le Nil. On
nous dit que d’anciennes recrues de Goebbels, initialement sous la
supervision du défunt Johann von Leers, jouent un rôle important dans
l’appareil de propagande antijuif et antisioniste de Nasser.
A ce propos, nous entendons les noms de Werner Witschale, du Baron von Harder, de Hans Appler et de Franz Buensche. Mais un passé d’agent de la Gestapo, de la SS et des services d’espionnage n’empêche pas d’accéder à des carrières attractives au ministère égyptien de la propagande. Walter Bollmann, chef nazi des services d’espionnage en Grande-Bretagne avant la guerre, et plus tard, commandant SS, a servi dans la lutte contre la guérilla et les opérations antijuives en Ukraine ; Louis Heiden, officier SS qui fut transféré au bureau de presse égyptien durant la guerre, Franz Bartel, « vieux combattant » et officier dans la Gestapo ; Werner Birgel, officier SS de Leipzig ; Albert Thielemann, dirigeant SS en Bohème ; Erich Bunz, Major dans la SA et expert dans la question juive ; et le capitaine SS Wilhelm Boeckler, qui participa à la liquidation du Ghetto de Varsovie – sont tous réputés s’être occupés de propagande antijuive pour le compte de Nasser… »
Le cas de Johann von Leers est exemplaire à ce sujet. Membre dirigeant de la NSDAP à la fin de 1929, colonel SS, rédacteur de Der Angriff, auteur de différentes études d’anthropologie, le professeur d’université von Leers fut l’intime collaborateur de Joseph Goebbels, lequel lui confia la direction du Nordische Welt, organe de la Société pour la préhistoire et la protohistoire germanique. Après dix-huit mois d’internement dans un Lager anglo-américain, Von Leers réussit à fuir en Argentine, où il dirigea un journal en langue allemande. A la chute de Péron, il se mit à l’abri en Égypte ; ici il se convertit à l’islam et prit le nom de Omar Amin. Von Leers organisa au Caire l’Institut de recherche sur le sionisme, dirigea des émissions radiophoniques écoutées dans tout le monde arabe, se chargea d’une importante collection de textes islamiques destinés au public allemand et donna vie à diverses initiatives éditoriales et de propagande. En Égypte, von Leers devint un ami proche de l’ancien Mufti de Jérusalem, Muhamad Hadj Amîn al-Husaynî.
Parmi ceux qui devinrent musulmans et qui exercèrent des fonctions
d’un certain niveau dans l’Etat égyptien, citons : Joachim Daeumling,
ex-chef de la Gestapo de Düsseldorf, qui réorganisa les forces de police
en Egypte ; William Boeckler (Abd el-Karîm), ex-capitaine de la
Gestapo, qui assuma une charge au service d’information ; l’ex-SS Wilhem
Berner qui entraîna les fedayin palestiniens ; l’ex-SS-Gruppenführer A
Moser (Hasan Suleymâm), qui occupa un poste d’instructeur militaire ;
l’ex-commandant de la garde du corps de Hitler Léopold Gleim (an-Nâsir),
qui alla former les cadres des services de sécurité ; Louis Heiden
(al-Hâj), ex-membre de l’Office central de sécurité du Reich, qui
traduisit Mein Kampf en arabe..
16/02 13:28 - zygzornifle
l’Islam de fond balayera la planète tel un tsunami géant .......
12/02 10:55 - zygzornifle
La religion a haute dose devrait être considéré comme une maladie psychiatrique demandant pour (...)
10/02 17:45 - zygzornifle
07/02 16:57 - franc
Non Mr Amaury Grandgil ,ne quittez ce site , je trouve toujours vos articles pertinents et (...)
07/02 12:46 - Xenozoid
@Amaury Grandgil oui on a remarqué, et puis il y en a qui l’invente aussi,mais puisque ce (...)
07/02 10:55 - lermontov
Pour recoller au sujet, que les meurtriers ou autres psychopathes aient une sorte de charisme (...)
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