@non667
Et hop !!
Encore le nième copier coller de notre participant non667.
Répondez-moi comme d’habitude que je me répète.
Alors, je répète.
Répéter cent fois la même connerie n’en fait pas une vérité, sauf dans les esprits simples, comme au FN.
Ensuite, si je devais faire la liste des malversations avec l’argent public dont sont ou ont été accusés les leaders du FN, il faudrait user les touches d’un clavier jusqu’à la corde.
Mais ça, vous le savez bien.
Je vais enregistrer votre blonde, ce soir, et décortiquer soigneusement toutes les âneries et les contradictions pour m’en servir dans les réunions...
Vous êtes prévenu.
Exemple :
Libye : déclaration de Jean-Luc Mélenchon (PG)
L’ONU, rien que l’ONU, toute l’ONU
L’OTAN, dont je condamne l’existence et dont je souhaite que la
France se retire, n’a rien à faire en Libye. La résolution 1973 de l’ONU
concernant la Libye doit être fidèlement appliquée. Son objet est
clairement délimité. Il s’agit de mettre en place une zone d’exclusion
aérienne, actuellement effective, pour protéger les civils libyens. La
résolution 1973 n’a pas d’autre objectif et exclut clairement toute
autre intervention militaire.
Le Conseil de Sécurité de l’ONU dispose d’un organe militaire chargé
de mettre en œuvre ses décisions, le comité d’Etat-major établi par
l’article 47 de la Charte de l’ONU. C’est à lui et à lui seul de piloter
les opérations. Le respect du strict périmètre de cette résolution est
la condition de sa pérennité. Faute de quoi dans les heures qui
viennent, l’intervention changeant de signification, l’accord
international qui a permis l’absence de veto au sein du Conseil de
Sécurité, sera remis en cause. Pour ma part, comme beaucoup de ceux qui
ont approuvé la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne, je ne
soutiendrai pas davantage que par le passé une nouvelle guerre de
l’OTAN.
Dès lors, c’est le moment de constater la faute qu’a été le
retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN et la
nomination d’officiers français dans la chaine de commandement que
dirigent les Nord-américains. La pression qui s’exerce pour imposer la
présence de l’OTAN dans l’action en Libye ne correspond à aucune
nécessité militaire pour les Français. Elle signale seulement
l’avilissement de ceux qui s’y soumettent, leur perte d’indépendance.
Elle rappelle le caractère impérial de cette alliance belliciste dirigée
par les Etats Unis d’Amérique. La sortie de l’OTAN et le retrait de
l’aventure sans principe en Afghanistan figurent au même agenda que la
ferme volonté d’empêcher cette organisation de prendre la direction
d’une opération dont nous attendons seulement qu’elle protège la
révolution populaire en Libye.