Ce brave Céline :
« Je viens de publier un livre abominablement antisémite, je vous l’envoie. Je suis l’ennemi n°1 des Juifs. » [Céline, in lettre au Docteur W. Strauss]
" Racisme d’abord !
Racisme avant tout !
[...] Désinfection ! Nettoyage ! Une seule race en France :
l’Aryenne. [...]« [in l’école des cadavres]
» Nous nous
débarrasserons des
Juifs, ou bien nous crèverons des juifs, par guerres,
hybridations burlesques, négrifications mortelles. Le
problème racial domine, efface et oblitère tous
les
autres.« [idem]
» Distinction entre les
bons Juifs et le
mauvais Juifs ? Ça rime à rien. Les Juifs
possibles,
patriotes, et les Juifs impossibles, pas patriotes ? Rigolade !
Séparer l’ivraie du bon grain. [...] Le chirurgien fait-il
la
distinction entre les bons
et les mauvais microbes ?" [idem]
« Les Juifs,
racialement, sont des monstres, des hybrides loupés,
tiraillés, qui doivent disparaître.
[...]
Les Youtres c’est comme les punaises. [...]
Quand
t’en prends une seule dans un plume, c’est qu’elles sont dix mille
à l’étage ! Un million dans toute la
crèche." [cité par R. Soucy, in
Fascismes français ? 1933-1939, Mouvements
antidémocratiques]
« Si
vous voulez dératiser un navire, dépunaiser votre
maison,
vous n’allez pas dératiser à demi,
dépunaiser
seulement votre premier étage ? Vous seriez certains
d’être envahis dans un mois, par dix fois plus de rats, vingt
fois plus de punaises. » [idem]
« Volatiliser sa juiverie serait l’affaire d’une semaine pour
une
nation bien décidée. » [in les beaux draps]
«
[Céline] dit combien il est
surpris, stupéfait, que nous, soldats, nous ne fusillions
pas,
ne
pendions pas, n’exterminions pas les Juifs - il est
stupéfait
que
quelqu’un disposant d’une baïonnette n’en fasse pas un usage
illimité.
"Si les Bolcheviks étaient à Paris, ils vous
feraient
voir
comment on s’y prend ; ils vous montreraient comment on
épure la
population,
quartier par quartier, maison par maison. Si je portais la
baïonnette,
je saurais ce que j’ai à faire" ». [Ernst Jünger, in Journal]