@ doctorix
Pour en finir avec la Russie sur ce propos, les Russes travaillent d’ailleurs d’arrache-pied sur des vaccins contre Ebola et le Sida.
Je suis étonné de ce que tu me dis là puisque le principe du vaccin, que tu rappelles dans un commentaire plus haut, concerne le virus, qui est un agent exogène (une agression externe). Surtout que me renseignant sur le méningocoque, je lis cela :
"Le méningocoque est une bactérie qui peut être présente dans
le fond de la gorge de certaines personnes : environ 10 % de la
population en est porteuse à un moment donné.
La plupart du temps, le méningocoque n’entraîne pas de maladie
comme c’est le cas pour de nombreuses autres bactéries. Les raisons pour
lesquelles certaines personnes sont porteuses de la bactérie, pendant
plusieurs semaines ou plusieurs mois, sans tomber malades tandis que
d’autres développent une infection invasive à méningocoque, sont peu
connues."
Il y a un côté très énigmatique, d’autant plus avec les singularités russes que j’ai donné (le côté cyclique sur de très longs cycles, saisonnier et climatique, la prévalence dans certaines zones géographiques que les carences en prophylaxie ne suffisent pas à expliquer, etc).
Personnellement, le problème que je vois avec les vaccins, c’est le côté indéterminé, à savoir que tous doivent être vaccinés alors que, peut-être, sur le strict plan médical, seuls quelques uns devraient l’être (il y a inégalité devant la maladie, les affections, etc) C’est de là que découlent l’obligation, la corruption possible et régulièrement établie, et la possibilité d’intoxication pour des motifs variés*.
* et jamais établis. Ce n’est pas difficile de se procurer une dose de vaccin, une simple ordonnance d’un médecin lambda suffit, et donc de la faire analyser. Sachant que lors de campagnes de vaccination type celles financées par Gates, les lots ne sont pas accessibles.