Les planisphères c’est bien mais je préfère les globes, la grande révolution du regard. Comme ça on peut pas se mettre au milieu. Le bout du monde n’existe plus, sauf dans les têtes ; de là haut on voit plus la mèche de Trump, ni même le chateau de Fillon. On a vraiment envie de rester là haut sans ces emmerdants.
. Certains pays, sont très bien pourvus, quoique tous petits. C’est cela la véritable grandeur, tout comme pour un homme : Pas la taille ni la longueur du zizi ou du tour de poitrine, mais la variété :. L’accés à la mer, la richesse des terres, les sources hydriques, les climats tempérés, les terres non sismiques, voilà les vrais richesses : Pas les milliers de kms de toundras sans aucune variété. La France est un pays qui en peu de kms offre une multitude de climats, de types de végétations.
Voilà la vrai richesse qui n’apparaît pas sur cette photo de groupe où les grands, comme sur les photos scolaires, prennent toute la place.C’est cela que j’aime, les changements de végétation très rapides entre Cévennes et méditerranée, les dégradations rapides des tons, de la végétation. Semblablement à ce qu’on peut voir aussi en asie, quand la kyberr pass vous fait passer du désert afghan à la chaleur tropicale du Pakistan. Alors en quelques dizaines de kms, on fait le tour du monde...Seule donc ces connaissances géographiques et environnementales, alliés à celles de l’histoire, qui se construit elle aussi sur les territoires opportuns, donnent un sens à cette carte, qui en elle même, ne signifie pas grand chose