Le programme de Macron parait assez cohérent, et assez flou,
pour satisfaire un électorat un peu perdu, qui veut du changement sans pour
autant faire la révolution. Mais Je ne peux pas m’empêcher de faire un
rapprochement entre Macron et Pompidou, ne serait-ce que par leur passage chez les
banquiers Rothschild. Pompidou reste celui qui a asservi l‘état français aux
marchés par les lois bancaires de1973, ce principe, étant repris pour l’Europe, lors de l’établissement
du traité initial de Maastricht. Comme le dit bien Mr Godin, cette connaissance
de la « grammaire financière » est une arme à double tranchant. A la suite,
de la crise bancaire de 2007, la plupart des autorités politiques européennes, avaient suggérés la séparation
banques de dépôt et banques d’affaires.
« https://www.lesechos.fr/26/06/2015/LesEchos/21967-051-ECH_pourquoi-il-faut-separer-les-banques.htm#uEpM30YhJAAR56qV.99  ; »
Mais en 2013 malgré la volonté affichée de Hollande, le
lobby bancaire français a effrayé et dissuadé les politiques, de finaliser cette
solution. Quelle fut le rôle du conseiller Macron à cette époque ?
J’aimerai que le candidat Macron s’explique à ce sujet.
Je n’envisagerai, de voter pour lui que s’il se positionne 1)
sur la modification des statuts de la BCE afin que celle-ci puisse prêter
directement aux états.2) Qu’il agisse en faveur d’une loi de séparation
bancaire réelle.