Commentaire de Louve
sur Sur le Trocadéro il pleuvait des cordes et les larmes de Marianne
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@Massada
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots,
Du bout de l’horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L’Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu’il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts.
Derniers commentaires
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12/03 11:04 - troletbuse
Tu as vu, P@py, la police des faux opposants au système est passée. :-))
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09/03 16:27 - Christian Labrune
Il aura beaucoup de mal à récupérer les voix de la droite modérée. Il sera donc tenté de se (...)
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09/03 16:09 - Christian Labrune
@jadevo Dans votre liste à la Prévert, vous oubliez Claude Goasguen, qui fut dans sa jeunesse (...)
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08/03 23:31 - Christian Labrune
Je suis bien incapable de dire avec certitude ce que j’aurais pensé en 1936 ou 1946 (...)
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08/03 09:33 - Christian Labrune
@jadevo Quand on n’a rien à dire, sinon que les choses sont ce qu’elles sont et (...)
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08/03 00:43 - Christian Labrune
@jadevo Dans le désordre, mais je numérote quand même : 1 - Politique à la remorque d’une (...)
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