« non, le féminisme ne vise pas à ce que les femmes prennent le pouvoir sur les hommes, mais qu’il est un bien un mouvement aux revendications égalitaires pour les deux sexes. »
la bonne blague, le féminisme n’inclus pas la nécessité de défendre la virilité masculine (et donc son identité 1ere), c’est un mouvement qui s’adresse d’un coté à des femmes (victimes forcément de tous et de tout) qui auraient tous les droits sans quasiment aucune contrainte d’un coté et à des hommes qui se doivent d’être métrosexuels, castrés et soumis.
la féministe, au sens critique ravagée, de son coté, oscille entre compétition victimaire et idiote utile du capital, ce qui reste étonnant pour une « minorité » qui représente plus de 50 % de la population en France.
« Toutefois, la parole se libère peu à peu, la batteuse du groupe MIA Kiran Gandhi ayant par exemple couru le marathon de Londres sans protection hygiénique alors qu’elle avait ses règles »
c’est aussi intéressant qu’une revendication de femen aux seins nus et la raison pour laquelle les féministes ne seront jamais prises au sérieux.
« Le harcèlement sexuel reste lui aussi un enjeux majeur dans nos sociétés, comme en témoigne l’affaire Baupin. »
ça pose surtout la question de savoir pourquoi ces femmes si féministes ont une attirance sans limite pour les sociopathes, les pervers narcissiques et autres cinglés qui constituent une minorité au sein de la gente masculine.
Minorité que les féministes décrivent sans cesse comme des comportements coutumiers chez la majorité (un sujet entier sur l’inversion des normes et l’inversion accusatoire au sein de ses mouvements pseudo progressistes pourrait être rédigé par ailleurs).
une hypothèse : qui se ressemble s’assemble, peut être serait il intéressant d’étudier les tares psychiatrique au sein des mouvements féministes ?
on y retrouvera certainement un bon paquets d’aliénées, et ce rien qu’en se basant sur l’attitude des plus médiatisées des portes paroles de ces mouvements qui font preuve d’un mélange d’hystérie et de connerie à l’état pur.
Quand on aime les femmes, on a guère de plaisir avec les féministes, on les laisse à ceux qui cultivent la haine de soi et le narcissisme des gens tristes et sans intérêt.