« Que le dernier Américain à quitter les lieux ait la gentillesse de ranger le drapeau. » autocollant ...
Comme métis du Capital, Obama devait détruire le Credo américain, c.a.d en pratique la langue anglaise comme culture.
Depuis
Clinton le sucé, c’est la politique du Québec hispanique des 5 états
frontaliers avec le Mexique (90% des enfants de Californie du Sud sont
hispaniques, justifiant l’enseignement en Espagnol, même le chinois est
autorisé ! Mieux que l’arabe de Naïade Vagino Bécassine !)
« La domination cubaine et hispanique de Miami a réduit les
Anglo-saxons, tout comme les Noirs, à l’état de minorités que l’on
pouvait souvent se permettre d’ignorer. Ne pouvant pas communiquer avec
les fonctionnaires des administrations gouvernementales et victimes de
discriminations de la part des commerçants, les Anglo-saxons avaient
trois options. Ils pouvaient accepter leur position d’ « outsiders ».
Ils pouvaient essayer d’adopter les mœurs, les coutumes et la langue des
Hispaniques et de s’intégrer à leur communauté, par le biais de ce que
les chercheurs Alejandro Portes et Alex Stepick ont appelé une «
acculturation renversée ». Où alors, troisième possibilité, ils
pouvaient quitter Miami. C’est ce qu’on fait 140 000 d’entre eux entre
1983 et 1993, en raison du « caractère de plus en plus hispanique de la
ville »
http://www.alterinfo.net/Analyse-de-l-ouvrage-Qui-sommes-nous-de-Samuel-Huntington_a197.html
Comme métis du Capital, Obama devait détruire le Credo américain, c.a.d en pratique la langue anglaise comme culture.
Depuis Clinton le sucé, c’est la politique du Québec hispanique des 5 états frontaliers avec le Mexique (90% des enfants de Californie du Sud sont hispaniques, justifiant l’enseignement en Espagnol, même le chinois est autorisé ! Mieux que l’arabe de Naïade Vagino Bécassine !)
« La domination cubaine et hispanique de Miami a réduit les
Anglo-saxons, tout comme les Noirs, à l’état de minorités que l’on
pouvait souvent se permettre d’ignorer. Ne pouvant pas communiquer avec
les fonctionnaires des administrations gouvernementales et victimes de
discriminations de la part des commerçants, les Anglo-saxons avaient
trois options. Ils pouvaient accepter leur position d’ « outsiders ».
Ils pouvaient essayer d’adopter les mœurs, les coutumes et la langue des
Hispaniques et de s’intégrer à leur communauté, par le biais de ce que
les chercheurs Alejandro Portes et Alex Stepick ont appelé une «
acculturation renversée ». Où alors, troisième possibilité, ils
pouvaient quitter Miami. C’est ce qu’on fait 140 000 d’entre eux entre
1983 et 1993, en raison du « caractère de plus en plus hispanique de la
ville »
http://www.alterinfo.net/Analyse-de-l-ouvrage-Qui-sommes-nous-de-Samuel-Huntington_a197.html