@Claire29
autre info dans cet article sur le site Atlantico :
« un fin connaisseur du contrôle de la transparence des personnalités politiques pointe pour Atlantico les sommes perçues par l’ancien ministre de l’Economie lors de la réalisation d’importantes opérations pour le compte de la banque Rothschild. En effet en 2012,
la banque d’affaire est mandatée pour la cession des actifs de Nestlé au laboratoire pharmaceutique Pfizer pour un montant de 9 milliards d’euros, et c’est Emmanuel Macron qui est aux manettes. Dans une opération de cette envergure, la banque aurait pu recevoir entre 1,5% et 3% de la transaction sous forme de commission.
Et cela pose une question : combien la banque a-t-elle effectivement reçue ? Et quelle commission l’ancien ministre a-t-il réussi à négocier, chose commune dans pareille situation ? Surtout la question qui se pose est celle du mode de rémunération. Les deux entreprises siégeant en Suisse et aux Etats-Unis, certaines rémunérations auraient-elles pu se faire en dehors de la juridiction française ? Et dans le cas d’une rémunération sous forme de dividendes (ce qui est aussi une possibilité) sur combien d’années les étalements ont-ils été prévus ? Et le juriste de conclure que derrière cette opération (qui est la principale d’Emmanuel Macron pour le compte de la banque Rothschild) pourrait exister d’autres zones d’ombres pour l’ancien ministre, qui pourraient intéresser les magistrats du Parquet national financier. »