@JC_Lavau. 29 septembre 1878, ce qu’en disait R.-L. Stevenson, une nuit où il ne pleuvait pas sur
sa clairière (mais quatre nuits plus tôt, sous un déluge vers Fouzilhic,
il avait été fort malheureux, faute d’équipement approprié) :
"Dans ce monde extérieur que nous fuyons, blottis dans nos maisons,
il y a des endroits charmants et agréables à habiter. Chaque nuit,
semble-t-il, il y a un lit tout prêt qui attend l’homme dans les champs
où Dieu tient maison ouverte. Je pensais avoir retrouvé une de ces
vérités qui sont révélées aux primitifs, et cachées aux économistes ;
j’avais du moins découvert pour moi un nouveau plaisir. Et pourtant,
tandis que je m’exaltais ainsi de ma solitude, j’eus le sentiment
étrange que quelque chose me manquait... J’aurais souhaité une compagne
étendue près de moi, sous la clarté des étoile, silencieuse et immobile,
et dont la main put effleurer ma main. Car il existe une camaraderie
qui procure une sensation de douce quiétude et qui bien comprise, est
une solitude encore plus parfaite. Vivre en plein air avec la femme
qu’on aime, c’est de toutes les vies la plus parfaite et la plus libre."
Fin de citation.
Wi, mais avec la meute de loups qui vous encerclent, tu es content d’avoir ta compagne auprès de toi ?