Bj
Effectivement, me suis trompé, en fait croyais que les deux post étaient de « Julius 1er ».
Ce n’est pas le cadre pour faire un cours sur le clivage gauche / droite, si mal traité par ces soi disant experts qui commentent à la radio ou à la tv à longueurs de soirées.
Je me permets de vous renvoyer à l’un de nos meilleurs penseurs actuels, pas tu tout, du tout show bizz etc., Jean-Claude Michea. Il est très clair et l’un de ses « dadas » est précisément de montrer comment la gauche a évolué et qu’elle se distingue de la tradition socialiste ouvriériste syndicaliste qui remonte aux années 1840. Il y a Le Complexe d’Orphée ou l’Enseignement de l’ignorance, parmi tant d’ouvrages mais on peut facilement l’écouter sur des vidéos de conférence via internet.
J’en parle également dans mon article : Macron : le Président du Capitalisme Terminal
Enfin, et c’est un point philosophique, en un sens, on ne peut définir quelque chose par la négation d’une autre chose. Seul le mal peut être ainsi défini, et cela implique ensuite toute une méditation pour essayer
de comprendre un peu : le mal est l’absence de bien. Le mal est donc du néant.
Le centre est plutôt à analyser comme un fait de l’histoire politique. Le refus de l’idéologie, j’aurai l’occasion d’en parler lors d’un article que je prépare, se rattache à la tradition contre-révolutionnaire, au courant monarchiste français et, de façon déviée, et contradictoire à maints égards, au courant fasciste
« originel ».