@Alren
Même le prochain élu, quel qu’il (ou Elle) soit ne pourra pas dire ’au nom de la France’ !
Vu les proportions cumulées de
- boycotts du scrutin
- non inscriptions sur les listes électorales,
- abstentions,
- votes blancs
- votes-contre
- votes ’protestataires’
et vu le sport national qui consiste à transformer les ’consultations électorales’ en un jeu de spéculations entre petits futés cherchant à instrumentaliser sondages, affaires judiciaires et propagandes arrivistes pour ’gagner’ procédurièrement de façon arriviste le podium de ces honteux stratagèmes de légitimation (qui n’ont plus rien à voir avec les vertus espérées du théorème du jury de Condorcet)
... il est bien entendu que celles et ceux qui prétendront avoir ’gagné’ la Présidentielle ne représenteront tout au plus et dans le meilleur des cas, que bien moins d’un quart des Français !
Vous en rendez-vous
compte qu’AUCUN ... de TOUS les candidats ne saurait moralement revendiquer la prétention d’engager TOUS les Français sur le chemin soit d’une guerre,
soit d’un changement dit ’sociétal’ , soit même seulement d’une prétention dite ’culturelle’ engageant l’avenir au-delà de son temps de mandat ? !
Même le Référendum, qui est actuellement donné pour la ’solution’ officielle, (bien qu’il n’ait plus été utilisé depuis des lustres ...) reste très contestable.
Et tout le monde, au moins en Europe, sait qu’il n’est plus crédible en France !