@Descartes
J’avais lu votre commentaire plus haut.
Ce qu’il y’a, c’est que l’argument de l’article ne contredit
pas ce que vous affirmez là , la commission rajoute une précision : ces
recommandations sont discutées et approuvées par les chefs d’État ou de gouvernement
en juin (lors du Sommet européen).Elles
sont ensuite prises en compte par les pays lors de la préparation de leur
budget à l’automne. C’est à ce niveau qu’elles deviennent des
obligations.
Ce qui signifie que même si
ces « recommandations » deviennent obligatoires, elles sont
préalablement approuvées par les chefs d’Etat, ce qui permet à la commission d’écrire
« Bruxelles ne « dicte » donc
pas sa politique économique aux États membres ! La
Commission européenne n’impose rien, elle veille à ce que les États membres de
l’UE respectent les règles qu’ils se sont eux-mêmes fixées. Ni plus, ni
moins. »
La
question que je pose, c’est « que prévoit la procédure si un des 28 chefs
d’Etat refuse ratifier le projet lors des réunions trimestrielles du conseil
Européen » ?
@Doctorix
Quant vous lisez ça, vous en concluez quoi ?Il s’agit bien de
recommandations et non pas d’obligations. Certes on fixe des
objectifs, mais les États membres sont libres de choisir les moyens d’y
parvenir. Bruxelles ne
« dicte » donc pas sa politique économique aux États membres !
------> Oui, cet
enfumage m’a fait rire. 