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Commentaire de JL

sur Par-delà les murs : Découvrir François Asselineau et l'UPR


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Francis, agnotologue JL 12 avril 2017 10:46

@lordrax
 

 ’’Asselineau, le seul qui veut rendre à la France sa souveraineté et sa démocratie en respectant le droit.’’
 
 Parce que vous croyez que cette UE est légitime, Légale ?
 
 Sarkozy a signé illégalement le Traité de Lisbonne en s’asseyant sur la volonté du peuple manifestée largement par la réponse au référendum de 2005. 
 
 
En ne sortira pas de la servitude volontaire en demandant la permission.
 
 ’’L’article 50 vise en réalité à engluer dans des procédures juridiques interminables et incompréhensibles pour la majorité de la population, les États qui voudraient sortir de l’UE.
Sortir vite en créant un état de fait
 
Charles de Gaulle, dans C’était de Gaulle, tome 2, d’Alain Peyrefitte, écrit que « C’est de la rigolade ! Vous avez déjà vu un grand pays s’engager à rester couillonné, sous prétexte qu’un traité n’a rien prévu au cas où il serait couillonné ? Non. Quand on est couillonné, on dit : « Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça ». Nous sommes entièrement d’accord avec cette remarque frappée au coin du bon sens.
 
La sortie de la France de l’Union européenne ne se fera surtout pas au moyen de l’article 50 du traité de Lisbonne. Pour sortir, la France invoquera les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne du 23 mai 1969 sur le droit des traités. Ces articles décrivent le droit de retrait d’un traité international par un État, au motif notamment d’un « changement fondamental de circonstances ».
La sortie de l’Union européenne devra être rapide et unilatérale, autrement dit la France décidera, seule, de sortir. Son geste, à n’en pas douter, provoquera une réaction en chaîne souhaitable, incitant les peuples des autres pays à se mobiliser pour retrouver leur liberté.
La sortie de l’Union européenne s’accompagnera d’un référendum pour réviser la Constitution française afin d’en éliminer tous les articles qui placent le droit français sous la tutelle du droit communautaire européen, particulièrement ceux contenus dans le titre XV intitulé « De l’Union européenne ».
 
La tragédie grecque démontre qu’aucune négociation n’est possible avec les représentants de l’Union européenne. Ses dignitaires ont dit à plusieurs reprises que les pays membres de la zone euro y étaient pour toujours. Il faut donc éviter la moindre naïveté et préparer dès à présent nos concitoyens à des épreuves qui ne pourront pas être « sereines ». L’angélisme, le juridisme, la naïveté, réels ou simulés, constituent une très grave faute politique.
La voie juridique de l’article 50, ce miroir aux alouettes, est une impasse politique aux conséquences désastreuses.’’

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