@Robert Branche
Eh bien vous vous trompez ! Mélenchon ne cache pas ses liens avec les dictateurs d’Amérique du Sud !! Il affirme au contraire en prendre l’idée de « Révolution Citoyenne » !!
Voyez-vous, Mélenchon est une véritable éponge qui boit les convictions de tout le monde ; on lui reproche tout et son contraire : dictateur d’extrême gauche pour les uns, voiture balai du PS qui demandera à voter Macron pour les autres ; on s’y perd, vous ne croyez pas ?
Pour ceux qui ont élaboré le programme, il est un excellent, le meilleur, porte parole d’une volonté populaire éclairée.
En face, les « insectes » qui sont nés parfaits d’une vérité révélée et de son medium, et qui trouvent louche qu’un être humain évolue ; ou bien ceux qui trouvent que ça ne va pas trop mal pour eux et qui tremblent pour leurs billes ; les purs et parfaits qui le trouvent un peu mou du genou ; les jaloux les craintifs qui craignent qu’il leur vole la primeur ; les peureux qui le trouvent trop dur ; les méfiants revenus de tout qui trouvent qu’il en fait trop ; les idiots qui ne comprennent pas ce qu’il dit, interprètent et rabaissent ses paroles ; les méchants aigris qui accusent ses supporters d’être des dévots envoutés ; les menteurs manipulateurs qui veulent faire croire que le programme est vide,ou bien impossible ; et puis ceux pour qui le changement, l’inconnu sont un tel danger qui font l’autruche et laissent passivement le monde aller à sa perte.
La grande force de ce programme, ce qui le sous-tend, c’est sa force écologique, c’est ce qui le fait rassembleur ; ses projets d’avenir, ses innovations, ce chemin que l’on veut défricher vers l’utopie de l’intelligence, de l’amour et du respect, en font, strictement, le seul projet d’avenir qui veut inclure toutes les compétences, tous les savoirs, les savoir-faire, qui incite chacun à s’investir. Son programme de politique extérieure est de simple bon sens : respect de la souveraineté des peuples.
Le programme de la Fi est comme un langage qui se crée, qui s’enrichira de toutes les initiatives pour peu qu’elles aient comme mobile : le bien commun.