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Commentaire de BA

sur Emmanuel Macron, le clair-obscur du zigzagueur


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BA 13 avril 2017 18:07

Le mot « souverainisme » est sur toutes les lèvres. Michel Onfray nous en explique le sens et veut en réhabiliter la portée et la valeur.


Aujourd’hui, Michel Onfray s’attaque au concept de « souverainisme », dont se revendiquent (trop ?) souvent nos élus.


En politique, le mot apparaît au Canada, avec le désir d’indépendance québécois. Le « souverainisme » permet d’expliquer le courant de pensée de Jean-Pierre Chevènement « à un moment où on disait qu’il fallait détruire les nations ». Le terme de « souverainisme » entre alors dans notre vocabulaire, mais il devient presque insultant, alors qu’il s’agissait à l’origine d’une notion positive. Mais, pour Michel Onfray, ce concept s’oppose surtout à une certaine conception de l’Europe : « Les maastrichtiens qui nous ont dit que voter oui à l’Europe de Maastricht, c’était pour voter oui au bonheur, à la joie, au plaisir, à la fin du chômage, de la misère, de la pauvreté, à l’amitié entre les peuples, à la disparition des guerres, etc. Et, 25 ans plus tard, après avoir dominé sans partage, ils ont obtenu exactement le contraire. »


Mais aujourd’hui, poursuit l’auteur du Traité d’athéologie, « reviennent des gens qui ont envie d’être souverains, c’est-à-dire de pouvoir décider chez eux, par eux et pour eux ». Et c’est l’essence même de la démocratie, comme le rappelle le philosophe. « Il est donc temps de faire de nouveau de « souverain » et de « souverainiste » de beaux mots », conclut Michel Onfray.

http://www.lepoint.fr/culture/l-intellopol-1-souverainisme-par-michel-onfray-13-04-2017-2119384_3.php

François Asselineau est un candidat souverainiste à l’élection présidentielle.


Dans son programme, François Asselineau explique les trois premières mesures qu’il faudra prendre en urgence :


« Fidèle à toute notre histoire, mon programme présidentiel de libération nationale consiste donc d’abord dans :


  • La sortie de la France de l’Union européenne par application de l’article 50 du traité sur l’Union européenne (TUE)

  • La sortie de la France de l’euro qui impose juridiquement la sortie de l’UE par le même article 50 du TUE

  • La sortie de la France de l’OTAN par application de l’article 13 du traité de l’Atlantique nord (OTAN) »

C’est la page 18 :


https://www.upr.fr/wp-content/uploads/2011/01/Programme-Francois-Asselineau-legislatif-2017.pdf


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