Le mot « souverainisme » est
sur toutes les lèvres. Michel Onfray nous en explique le sens et
veut en réhabiliter la portée et la valeur.
Aujourd’hui, Michel Onfray s’attaque au
concept de « souverainisme », dont se revendiquent
(trop ?) souvent nos élus.
En politique, le mot apparaît au
Canada, avec le désir d’indépendance québécois. Le
« souverainisme » permet d’expliquer le courant de pensée
de Jean-Pierre Chevènement « à un moment où on disait qu’il
fallait détruire les nations ». Le terme de « souverainisme »
entre alors dans notre vocabulaire, mais il devient presque
insultant, alors qu’il s’agissait à l’origine d’une notion positive.
Mais, pour Michel Onfray, ce concept s’oppose surtout à une certaine
conception de l’Europe : « Les maastrichtiens qui nous ont
dit que voter oui à l’Europe de Maastricht, c’était pour voter oui
au bonheur, à la joie, au plaisir, à la fin du chômage, de la
misère, de la pauvreté, à l’amitié entre les peuples, à la
disparition des guerres, etc. Et, 25 ans plus tard, après
avoir dominé sans partage, ils ont obtenu exactement le contraire. »
Mais aujourd’hui, poursuit l’auteur du Traité d’athéologie,
« reviennent des gens qui ont envie d’être souverains,
c’est-à-dire de pouvoir décider chez eux, par eux et pour eux ».
Et c’est l’essence même de la démocratie, comme le rappelle le
philosophe. « Il est donc temps de faire de nouveau de
« souverain » et de « souverainiste » de
beaux mots », conclut Michel Onfray.
http://www.lepoint.fr/culture/l-intellopol-1-souverainisme-par-michel-onfray-13-04-2017-2119384_3.php
François Asselineau est un candidat
souverainiste à l’élection présidentielle.
Dans son programme, François
Asselineau explique les trois premières mesures qu’il faudra prendre
en urgence :
« Fidèle à toute notre
histoire, mon programme présidentiel de libération nationale
consiste donc d’abord dans :
C’est la page 18 :
https://www.upr.fr/wp-content/uploads/2011/01/Programme-Francois-Asselineau-legislatif-2017.pdf