@gibi
Si le destin dramatique des Grecs nous indifférait, nous ne prendrions pas la peine de demander une sortie de l’UE, juridique, c’est la possibilité que les UPR ont choisi, nous aurions vis à vis de ce peuple martyrisé par cette monstrueuse édification l’UE, (créée pour faire crever les peuples européens au profit de la Finance, vieux projet fasciste,) nous nous contenterions de valider des demi-mesures en demi-teintes, que préconisent certains candidats.
Nous nous contenterions de déplorer, mais cela n’aurait pas beaucoup de sens. Je parle en mon nom personnel, car depuis des années on nous balade autour d’un projet de re-négociation qui n’aura jamais une once de solutionnement pour en sortir. Je remarque que vous évoquez le Frexit c’est de bon augure. Et que donc les idées de l’UPR ne sont pas si mauvaises que cela, puisqu’elles sont reprises.
Si vous voulez vraiment aider les Grecs, il faut cesser de stigmatiser un parti comme l’UPR, qui oeuvre de son côté, comme il le peut, pour informer de ce que vivent les Grecs tous les jours que Dieu fait et qui n’est qu’un préalable de ce que nous allons vivre bientôt, nous, les Français, les Italiens, les Espagnols, les Portugais, etc...
Oui, il faut pleurer de ce que vivent les Grecs, mais verser des larmes ne suffit pas. Il faut avoir du coeur, nous en avons tous, mais se préparer par des décisions intelligentes pour dire stop à la dictature de l’UE. L’UE est une infamie !
C’est ce qu’est entrain de faire monsieur Asselineau, depuis des mois, et depuis des mois on lui crache à la gueule, on le traite de complotiste, on le traine pratiquement dans la bouillasse médiatique, on lui rit au nez, des journaleux lui coupent la parole lorsqu’il s’exprime, des journaleux le traitent plus bas que terre, le tourne en ridicule, on lui interdit les grands médias, on le classe toujours alors que son électorat ne cesse de grandir, de s’étoffer, avec moins que 0,0 %, on le nie, on le biffe, on le raye, on l’humilie sans cesse, à part quelques journalistes - fort peu nombreux - qui viennent tout juste de comprendre que l’UPR c’est un mouvement qui avance et qui créera des surprises.
Vous voulez aider les Grecs ? Alors laissez agir ceux qui en ont les moyens, ceux qui parlent vrai, qui n’édulcorent pas la vérité, ceux qui ne s’embarrassent pas de tics d’acteurs sur la scène, ceux qui ont un maintien austère et qui croient aux Institutions et qui ne s’en servent pas pour enfumer le gogo !
Bref... Aider les Grecs, c’est en finir une bonne fois pour toutes avec l’UE, et revenir aux fondamentaux.
Et vous savez les UPERISTES que j’ai rejoint tout récemment à cause justement du déni de démocratie qui mine notre pays avec le traitement qui était réservé à F. Asselineau, et qui me scandalisait, ce sont des gens très déterminés. Mais leur détermination s’accompagne de raison et de pragmatisme. Parce que les vieux rêves révolutionnaires qui faisaient les beaux jours de 68, vous savez très bien que depuis la Rue Solférino des morfalous se sont ingéniés à les briser. Il n’y a plus de rêve possible, il n’y a qu’une façon de voir les choses elles sont très crues.
Bien à vous.