@Gavroche
Il est probable qu’au moins un des deux sera élu directement ou au pire, sera premier ministre dans une cohabitation dans le cas contraire ; Les électeurs rejettent à entre 60 et 70% suivant les scrutins, les héritiers rivaux du PS miterrando-hollandais, Mélenchon, Hamond, et sans doute, Macron malgré son déguisement. POur faire court : Ils rejettent les idées socialistes de prêt ou de loin. C’est lié à leurs résultats depuis 200 ans, en général, 81 et 2012 en particulier.
On ne voit pas trop ce qui aurait permis à cette bandes d’amis et ex amis de passer de 30 à 50, qq chose % en 6 mois ? Un succès des gauches, une conversion directe du fillono-lepenisme au Mélanchono-macronisme ?
je comprendre qu’on peut avoir envie d’y croire.
Mais est ce bien réaliste ?
Sauf accident industriel, on aura Le Pen FIllon au second tour. Si par extraordinaire un candidat de gauche passait et devait être élu, une droite majoritaire dans le pays, une haine véloce entre gauche nous assure que le prochain quinquennat, si même il ne débouche pas sur une cohabitation directe, sera un nouvel immobilisme façon Hollande. On ne change pas un pays contre une majorité aussi écrasante de citoyens hostiles. Surtout avec pas grand monde derrière soi.
Nous avons vu Hollande et ses frondeurs, on n’a pas trop envie de voir macron avec mélench en embuscade, ou Hamond avec des macrono bayrouiste prêt à lui faire payer ses trahisons du pouvoir Hollande, ou Mélenchon soutenu par ce qui restera de la volaille socialiste.
Mais d’un autre côté, le socialisme, c’est l’immobilisme,. Il n’est pas impossible que les gauches se ruent sur n’importe quel résultat favorable si il leur assure que comme Hollande, il ne fera rien.
Après tout, c’est très exactement ce que « fit » Mélench en 2012.