Il ne faut pas se voiler la face.
L’immigration a souvent été vécu comme une agression par les populations « autochtones ».
Les appellations « Ritals », « Escargots », « Bacalaos » ou même « pieds-noirs » n’ont jamais été des termes d’affections pas plus que « Melons » ou « Troncs de figuiers ».
Il suffit de se replonger dans la littérature de chaque époque, pour se convaincre que le sceau du FN, aurait put marquer, nombre d’ouvrages, aujourd’hui dépassés.
Comparer l’immigration « européenne » d’hier et « extra-européenne » d’aujourd’hui, c’est dire une partie de la vérité, mais pas toute la vérité,et quelques « pieux » mensonges.
Il y a une énorme différence entre le républicain qui a fuit les franquistes et celui qui fuit la misère.
L’un a bien souvent tiré un trait sur sa patrie, l’autre espère y revenir les poches pleines.
L’un cherche et trouve la liberté, l’autre veut la poule aux oeufs d’or et trouve un mirage.
Celà dit, je ne prétends pas apporter la lumière sur le sujet, juste poser un peson sur les plateaux, et je suis bien conscient, pour ne pas aller plus loin, de mentir par ommission.
Je constate, que l’immigration européenne ayant été digérée, il y a eut une évolution des mentalités, c’est plutôt positif, même s’il reste encore beaucoup à faire.