@Olivier Perriet
C’est une question politique. Les gens de gauche n’ont plus de pensée ; Si ils conservaient une vague teinture marxiste, ils sauraient que les homme providentiels n’existent pas. Les voir s’exciter autour de la « personnalité » et du « verbe » de leur prof préféré est d’un certain comique.
De même que les gauches la derrière fois ont choisit un président exactement à leur image, de même cette fois -ci elles font un triplement de la personnalité.
Trois personnage qui ont poussé dans l’humus du socialisme miterrandien se discutent le rôle de miroir de ces gens.
Mais ceux-ci restent la même population coupée du monde, des autres, des réalités et confite dans un nombrilisme certain. Mais surtout, surtout, caractérisé par l’immobilisme miterrandien ; C’est très frappant pour Mélenchon qui avec ces « réformes constitutionnelles, s’apprête à ne rien faire du tout pendant entre 2 et 5 ans...Élections, dissolutions, référendum, réélections, re-majorité parlementaire ou non, avec en plus discussion à tous les étages avec leurs copains Macronistes et hamonistes ?
Mélenchon, c’est comme Hollande et Ségolène dans un autre emballage. La »participatude« , cela veut dire qu’il n’y a plus d’exécutif. On discute, On bavarde...
Comprenez vous que le projet Mélenchon cela veut dire ne rien faire pendant la moitié au moins de son mandat ? Vous croyez que nous avons le temps pour cela ? Que les 9 Millions de pauvres vont attendre que des nuits debout débattent sur le projet de réforme constitutionnel pendant des mois ?
Que les extrémistes de gauche bercés par les illusions de ce vieux monsieur, vont patiemment attendre les fruits de »leur victoire« ? Avec Madame Le Pen au moins on aurait la paix civile. Les flics feraient ce qu’elle leur dirait. Avec Mélenchon ? Oserait il taper sur un bon morceau de sa »majorité" ?
Les forces de l’ordre suivraient elles ?
Or nous ne pouvons nous permettre le luxe de faire plaisir à ces parasites que quand le pays va vraiment bien.
Aujourd’hui, nous avons besoin d’un président, d’une ligne, d’un projet, d’une majorité, d’une volonté et d’action.
A côté de cela, le coût des costumes de Fillon, faire semblant de découvrir que les gens qui ont du pouvoir et ou du fric n’achète pas toujours les mêmes costumes que nous...c’est un sujet pour lecteurs de Gala...Puisque ces trucs passionnent les électeurs de gauche plus que la pauvreté dans notre pays, Saviez vous que Mitterrand avait le même tailleur ?