@Le421

Bonsoir,

Oui, il y a de quoi prendre des antidépresseurs à la seule idée que Macron puisse être un SEUL jour Président de la République française ! Oui !
Voilà un candidat qui hurle dans les micros, qui gesticule pour asséner sa doxa.
Voilà un candidat du temps où il était ministre qui a été l’artisan principal de la LOI EL KHOMRI, loi travail, la plus vicieuse des lois, s’il en est, la plus irresponsable pour l’avenir des français, de nos enfants ! Ne leur laissant aucune chance. L’avons-nous oublié ?
Voilà un homme qui supprimera la Sécurité Sociale pour tous, dès qu’il sera élu, pour répondre aux desiderata de ses grands amis de la Finance et du complexe militaro-industriel, des industriels du secteur marchand médical.
Voilà un homme prêt à supprimer les allocations chômage ! Prêt à prendre l’ex patronne du MEDEF, comme première ministre, pour bien marquer les appartenances idéologiques de sa future gouvernance.
Voilà un homme qui est prêt à supprimer toutes les avancées sociales dues au lent et patient travail des générations précédentes !
Voilà un homme qui s’entoure de multi-milliardaires, de journalistes complètement inféodés qui déroulent devant lui, le tapis rouge d’une manière vulgaire, inique, scandaleuse ! SCANDALEUSE ! Qui n’ont même pas une once de conscience et qui exposent leur parti-pris avec le plus grand mépris pour les Français ! Et qui vont de plus en plus loin dans l’exhibition !
Voilà un homme qui s’offre le mauvais goût de nous dire : « la culture française, je ne l’ai jamais rencontrée » !
Méprisant ce que quinze siècles ont façonné de notre histoire, de notre culture.
Ignorance ? Mépris ? Ou tout simplement cynisme, le même qui a coure dans le premier cercle que fréquente ce candidat ?
Si cet homme par malheur était élu, je ne donne pas six mois à la France pour être laminée en profondeur.
Alors, oui, il faudrait une bonne dose d’optimisme pour ACCEPTER que Macron devienne le Président de la France et ses positions extrêmement préjudiciables au devenir du pays.

Et tout aussi grave, dont ne mesurons pas tout à fait les dégâts, c’est la passation dans des circonstances plus que discutables, d’Alsthom aux Américains, un fleuron industriel français à caractère hautement stratégique.
Alors, bien sûr, ceux qui déposeront leur bulletin dans l’urne pour Macron, j’espère qu’ils auront à l’esprit non seulement le bilan mais une idée de ce qui nous attend avec une telle gouvernance.