@Taverne
vous imputez tout à Macron : les décisions prises par les présidents précédents.
Très drôle - et vous vous faires quoi avec les opposants à Macron ou contre les auteurs d’articles ?
J’apprécie
beaucoup vos interventions, surtout quand vous affirmer que ceux qui
écrivent quelque chose qui ne correspond pas à votre
doctrine font automatiquement parti de l’extrême droite, rumeur
que vous vous plaisez à balancer sur tous le dos de tous les auteurs dont le
contenu vous déplaît quand on met en cause la GAUCHE
collaborationniste NAZI, ou quand on ne pense pas comme vous. Je vous
propose un petit jeux, je balance un nom collaborationniste à gauche, et vous un
un nom à droite. Comme j’ai eu l’idée je commence. Je vous remet une petite vidéo de Lionel Jospin de 2007 pour commencer, pour que tout le monde comprenne la suite.
Robert
Jospin, militant « pacifiste », SFIO, ex-rédacteur
de « Germinale », (Hebdomadaire de la pensée
socialiste française), est financée les nazis
. Il avait
été nommé par le gouvernement Laval conseiller
municipal à Meudon en 1944, et sera évincé à
la libération. Robert Jospin renoue avec les «
pacifistes » et participe en 1951, à la fondation de la
revue, « La Voix de la paix ». Elle accueille
et soutient le socialiste Paul Rassinier,
communiste en 1922, et socialiste en 1934. Il est le
premier père du négationnisme français
, et
il écrira en 1950 « Il
assure qu’il n’y avait pas de chambre à gaz à Dora,
ni à Buchenwald. »
(Albert Paraz, Valsez
Saucisses,
chez Amiot-Dumont). « Tous
les déportés ont menti, affirme Paul Rassinier qui nie
l’existence des chambres à gaz
», lire article « Droit
de vivre »,
15-11, 15/12/1950. Eh oui le négationnisme de
gauche existe, mais pas le repentir de la gauche.