Bonjour,
je ne pense pas une seconde que vous soyez naïf ou c.., vous le prenez plutôt bien, bien qu’apparement le commentaire s’adresse a une autre ip que la votre. Soit.
Nos opinions sont de mêmes natures. Nous devons êtres certainement chacun persuadé de ce que nous défendons. Toutefois, vous avez relevé des points importants que vous énoncés. Une chambre de compensation échange entre banques. Ceci est loin d’être un détail. Cet engagement figurait dans les statuts de l’opérateur...Cependant, un retrouve des opérations qui concernent des entreprises qui n’ont aucune activités banquaire, ainsi que de comptes de particuliers, semble-t-il.
Je vous entend bien sur le point de désaccord qui voudrait que l’enquête de l’auteur repose sur le dol ou le vol. Comment dire... Disons que depuis toujours, le journalisme d’investigation est fait de cela. Denis Robert n’a rien volé. Ce sont deux anciens employés de la firme ainsi qu’un consultant de la société d’audit Arthur andersen (vous vous souvenez, l’audit Enron ?) qui ont communiqué les informations au journaliste. Il faut, pour mieux comprendre leurs gestes, nous remémorez le contexte de l’époque. Nous étions tout juste après « L’appel de genève », rassemblement de grands juges internationaux qui s’alarmaient de leur manque de moyens pour luter contre la criminalité financière internationale. Cette participation de Denis Robert à cet important évènement le rendu crédible auprès de nombreux intervenants et acteurs de la finance de course.
Ces personnes ont communiqué les informations de la banque à Denis Robert, qui deslors à été inculpé de « Recel de vol ». Je me permet d’insister sur « recel » car, à l’inverse du vol, « le recel de documents », fait partie du métier de journaliste. J’espère à présent avoir resitué mieux le position de Denis Robert sur ce qu’il ressent lorsqu’on l’inculpe pour ce motif. Le syndicat national du journalisme, Reporters sans frontieres se sont d’ailleur inquiétés de cette inculpation...
Je voudrais juste souligner un point qui me paraît important. Pensez-vous qu’un trentenaire, anonyme, qui a un pied dans la finance prenne un matin la décision de communiquer ce type d’informations juste pour se faire rire ? qu’un journaliste prenne le risque, au delà de sa sécurité personnelle, de divulger pareilles informations ? Bien entendu, je vous sent curieux et attentif a cette affaire, et vous trouverez, je n’en doutes pas, de quoi remettre en cause.
Je vous l’ai déjà dit. Des personnes, à la source des révélations n’ont jamais été poursuivie en diffamation. Le documentaire de Denis Robert et Pascal Lorent « L’affaire Clearstram racontée à un ouvrier de Daewoo » (bac films)n’a jamais été attaqué. Regardez donc ce film, la banque n’a rien trouvé à dire.
Enfin, un autre auteur, Gergorin, dans son « Rapacités » à pris le relai. Disons, pour faire vite, que nous avons à présent le point de vue du numéro deux D’EADS, et de son témoignage percu en tant que client et utilisateur. Réjouissons-nous de cela. Ca fera enfin des vacances pour Denis Robert.
Mais pardonnez moi, il faut que j’y aille, j’entend des bruits de bottes dans la cours...je dois vous laissez à vos incertitudes que je conçois, croyez moi, mais elles resteront, au risque de vous décevoir, très en dessous de ce qui est à mon sens, acceptable.
bàv
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