Jaime
beaucoup se débat sur la définition de la richesse, car c’est la pierre
angulaire de notre existence matérielle. Son absence nous ouvre la voie vers
des valeurs personnelles authentiques ,son
abondance nous donne accès à l’évolution positive de la société. C’est un paradoxe
, il y a deux vérités, équivalentes, inséparables, comme le pile ou face d’une même
pièce de monnaie. La tragédie de l’argent, c’est ce que nous devons éventuellement
faire pour le gagner, ce que nous devons abandonner, voir ignorer pour l’obtenir.
Rares sont les parcours importants sans fautes. Nous vivons une fuite en avant
mondiale dont l’accélérateur est la richesse. Les disproportions de richesses personnelles
deviennent gigantesques, sans raison d’être ,grotesque au regard d’une famine endémique
pour une large surpopulation que la
terre n’est plus capable d’accueillir. Nous perdons le contrôle, la richesse comme
seule solution, n’a plus de sens. Il nous faut trouver un nouvel équilibre,
libre d’être riche ou de ne pas l’être sans différences sociales, la richesse devrait
être un choix, sous forme d’un jeu basé sur des valeurs à respecter, mais la société
(comme un casino) devrait toujours être la gagnante. Les bons riches ,ça existe
déjà, ce sont souvent des joueurs qui partagent ou donnent leurs biens à la société.
Ne pas oublier d’encadrer les politiciens qui sont tous à la recherche de
richesse et de gloire.