@Olivier Perriet
Ce que vous dites montre que vous n’avez pas du tout compris la mentalité écolo. Je parle des écologistes politiques, bien sûr, pas de ceux qui aiment la terre, ses habitants, le monde animal en détresse, dont les écolos politiques se moquent complètement.
Ainsi, concernant votre remarque sur la surpopulation de la planète. Ne parlons pas de l’effet du CO2 sur le climat, qu’aucun modèle climatique sérieux n’a jamais réussi à démontrer. Les modèles des « réchauffistes » sont une escroquerie intellectuelle totale et, d’ailleurs, ils ne sont jamais présentés en détail devant de vraies instances scientifiques. C’est un charabia infâme et sans contenu réel, mais ceux qui ont le courage de le critiquer, comme Vincent Courtillot, sont ostracisés et interdits de parole. Les journaux qui se disent scientifiques, comme La Recherche, participent activement à l’inquisition.
Mais, que le réchauffisme entropique soit fondé ou pas, l’essentiel de la catastrophe, subie de plein fouet en premier par le monde animal sauvage et par les populations déshéritées, est lié à la surpopulation, comme vous le soulignez. Et c’est là que vous voyez le rôle des écolos en tant qu’agents de la finance internationale. Ce qui intéresse la finance internationale, c’est plus de main d’oeuvre, plus de pauvres, plus de consommateurs pour faire tourner leur machine de production.
Le monde animal sauvage est en voie de disparition rapide. C’est dû à la pression démographique et à la déforestation massive qui lui est liée.
Que dit le businessman du climat Nicolas Hulot sur cette déforestation massive ? Rien. Pas plus que les autres écolos.
Au contraire, les agents écolos de la finance mondiale ne cessent de clamer que l’on peut continuer à augmenter sans problème la population.
Toutes les analyses montrent qu’il y a une corrélation étroite entre la consommation d’énergie par habitant, le niveau de vie, et le ralentissement de l’expansion démographique. Les financiers de la City et les prédicateurs écolos ne veulent pas en entendre parler.
Les Orang-outangs qui disparaissent à jamais, comme des milliers d’espèces, mais ce n’est pas le problème de l’agent du Reich Cabanel.
Il nous sort un commentaire extatique sur les Suisses qui sortent du nucléaire pour revenir aux énergies propres. Quel culot !
La Suisse n’a que trois petits réacteurs. Elle importe une grande partie de son énergie au Reich allemand qui lui même achète les électrons fabriqués en Europe de l’Est dans des centrales thermiques au charbon ou au fuel ou au gaz, les repeint en « électrons verts », ce qui permet de les revendre au prix fort. Un trafic juteux. Tout le monde est au courant de la supercherie et fait semblant de ne pas savoir.
Le mage Cabanel (mais peut-on demander à un religieux de se servir de toute son intelligence ?) n’a pas vu, par exemple, ce petit problème : l’hydraulique a toujours été en Suisse une contribution importante à la puissance électrique. Or cette énergie éminemment renouvelable est en très grande difficulté à cause de la concurrence déloyale du Reich.
