@Elliot
Bien sur Eliot, je me souviens de la fin des années 50, L’époque ou la télévision faisait ses premiers pas, où les frigidaires ont fait leur apparition, où le teppaz nous permettait d« écouter les premiers 33 tours, bien sur je me souviens des soirées dans la rues avec les voisins où on écoutait les anciens nous raconter et nous apprendre la vie. La radio grâce à laquelle on écoutait le tour de France. Retraité vous aussi vous avez peut être aussi connu cette époque où le vivre ensemble avait un gout de vérité.
Bien sur il y a eu des progrès, mais ces techniques nouvelles ces sciences qui ont vu le jour, quel usage en faisons nous Haubourdin ?
»Science sans conscience ,n’est que ruine de l’âme".
le progrès n’est pas toujours synonyme de mieux vivre, si on ne sait pas prendre le meilleur de ce qu’il peut apporter.
je pense aussi qu’il y a des valeurs que l’on se doit de conserver et qui se sont perdues dans l’égoïsme et le chacun pour soi, la famille , le respect de certaines valeurs et institutions, la transmission de ces valeurs.
Je pense que les grands flux ne peuvent remplacer certaines valeurs qui sont éternelles car préservant de la disparition de notre culture et de nos sociétés.
certaines libertés sont des camisoles et certains progrès se font au détriment des valeurs humaines qui font que la vie vaille la peine d’être vécu.
A vingt ans vous comme moi je pense, nous refaisions le monde, aucune crainte de l’avenir, un optimisme sans faille, on allait voir ce que l’on allait voir, on allait en étonner plus d’un.
Qu’en est-il aujourd’hui de la jeunesse ?
Bonne soirée à vous.