Une réflexion approfondie sur l’ écologie, devrait conditionner toute l’organisation humaine voir cosmique - je me suis donc permis ce petit aparté, ci-dessous, pas tout a fait hors sujet car finalement probablement que la seul chose bien pour cette terre serait la disparition rapide de l’espèce humaine.
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Le concept de justice, vérité ne suffisent pas pour animer et régir une société parfaite des hommes, alors on doit lui adjoindre un concept de bien, les choses se compliquent alors. Le bien ne peut se définir que par rapport au mal, pourquoi, car le mal est finalement la nature même de notre nature humaine ou nature tout court, ou seul les forces régissent dans un arbitraire total la totalité de cette univers. Néanmoins on pressent bien qu’il y a une organisation de l’infiniment petit, a l’échelle d’un cosmos dont les limites nous échappent.
Cette organisation est-elle morale, morale dont nos sociétés prétendent se revêtir ? Faut-il de la morale pour architecturer la complexité, à l’échelle de la pensée humaine mais aussi dans la construction minérale, organique et biologique de cet univers. La cruauté de cette univers et espèce humaine en constitue-elle sa seule beauté, le beau restant bien sur incompréhensible pour nous.
Quel était le dessin de Dieu, sa création reste un mystère total. La vision Chrétienne n’aurait absolument aucun fondement ou résonnance dans cet univers. Les concepts de bien, justice, vérité ne sont que des nécessités a l’architecture de cette fourmilière humaine, mais non aucun autre écho dans les lois physiques ou biologiques dont seul la chaine trophique est la plus belle illustration. Le Christ se serait-il totalement fourvoyé, en d’autres termes la compassion est-elle nécessaire, efficace, fondée ? L’humanité sans compassion disparaitrait-elle ? L’univers sans une autre forme de compassion non humaine qu’il resterait à découvrir, serait-il anéanti ? A l’inverse, les forces contraires, ou le mal sont-ils nécessaires à cet équilibre, le mal restant prédominant ou serait l’équilibre ? Notre regard ou angle d’observation est-il partiel ou totalement biaisé, non à même de juger la nature même de cet équilibre ?
Alors choisir le bien ou le mal ne relevé que de notre opportuniste, ce que l’on appelle communément l’hypocrisie. Pourquoi l’homme s’est-il affublé de qualités sans fondement qui finalement n’ont que tres peu de sens ou écho dans cet univers, voir aucun ?
L’homme laissant libre expression a toutes ses pulsions, s’auto détruirait, n’est-il pas ? alors il existerait aussi dans cet univers une force de censure, qui combattrait le naturel, voir la nature même des choses. Une force que l’on pourrait définir que comme antinomique, le bien resterait totalement à la marge, a l’image de ce que la lumière serait à la matière noire à l’échelle d’un cosmos ? Le prédicat a une telle vision serait que le Diable et Dieu seraient la même entité, car complémentaire non ?
13/09 21:25 - JPCiron
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13/09 17:56 - Xenozoid
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13/09 17:52 - Xenozoid
@JPCiron Giorgio Agamben : Ces jours-ci , les mots « crise » et « économie » ne sont pas (...)
13/09 17:50 - JPCiron
intéressant Article ! Merci < Ils mentent...> C’est pire : ils croient. (...)
01/06 20:27 - jjwaDal
A mon humble avis c’est un peu maladroitement exprimé. Oui, il y a un racisme viscéral et (...)
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