@Jélaniac :
Les idées fusent de tous côtés, on assiste à une accélération de l’innovation.
On est loin d’avoir atteint la totalité du potentiel de récolte de l’énergie gratuite du soleil sur les toits, pour satisfaire les besoins énergétiques domestiques.
Il y a là un « gisement » inexploité énorme. Internet permet de sonder l’importance de cette ressource. On se rend compte que l’ingénierie spécialisée dans ce secteur évolue très vite, ce qui peut poser des problèmes aux entreprises qui développent l’utilisation de cette ressource, puisqu’il faut s’adapter sans cesse.
En peu de clics il est possible de savoir ce que cachent les mots : « installation aérovoltaïque ». On reste étonné des possibilités qu’offrent cette technique assez simple à mettre en oeuvre : les promoteurs de cette méthode parlent d’un rendement énergétique qui n’a rien à voir avec celui de l’énergie photovoltaïque seule captée par les cellules de silicium des panneaux, qui représente pourtant déjà 15% de ce qui peut être exploité par une plaque immobile, bien exposée au Sud, avec l’inclinaison optimale. La ventilation sous le panneau, provoquée par le gradient thermique permet de capter 45% d’énergie en plus ce qui fait un rendement global de 60% d’énergie captée dans cette configuration.
Reste « le solaire thermique » pur avec des paraboliques et un circuit d’huile pulsée qui peuvent être couplés, à côté, avec ce procédé « aérovoltaïque ». Si on rajoute à cela la possibilité de suivre le soleil pour que les capteurs soient en position optimale de réception, ce qui est assez simple à imaginer : il suffit que les capteurs soient dans des tubes perpendiculaires au faitage du toit et qu’un mécanisme assure leur rotation au cours de la journée.
On se rend compte que un toit bien exposé va produire plus d’énergie qu’il n’en faut pour assurer l’indépendance énergétique de la maisonnée.
Pour revenir sur le sujet de cet article, il est tout à fait intéressant de voir que ces recherches, prêtes à aboutir se fassent à San Francisco.
Il était question, il y a peu, de mettre en oeuvre l’installation d’une ligne ferrée à grande vitesse, Nord-Sud, en Californie, mais le risque que faisait peser sur ce système l’instabilité sismique de la région, empêchait ce projet de progresser.
La voiture électrique « canalisée » sur rail ou sur une bande d’autoroute, alimentée par caténaire peut être une bonne solution + l’ automatisation pour assurer la sécurité est tout à fait envisageable : deux avantages principaux : rechargement de la batterie de la voiture au cours de cette phase et possibilité, une fois le trajet accompli, de reprendre son indépendance et de circuler avec sa batteries rechargée dans les mégapoles américaines.
01/06 16:59 - Roberton
@Jélaniac Un petit cours d’énergie va vous faire le plus grand bien https://www.youtube.com/wa
01/06 08:28 - Martha
PS : Le gisement « solaire » aux Etats-Unis (et en Californie en particulier) est (...)
01/06 02:19 - Martha
@Jélaniac : Les idées fusent de tous côtés, on assiste à une accélération de (...)
14/05 07:33 - jjwaDal
@Jélaniac Musk a juste remis ça au goût du jour. Le concept est débattu depuis très longtemps. (...)
13/05 22:39 - Remosra
@Jélaniac Je mérite quoi au juste ? Vous n’êtes pas claire du tout ! Vous défendez quoi (...)
13/05 22:29 - Jélaniac
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